Sami, le fils de Nassim avait désormais 15 ans. Quinze années c’étaient écoulées pendant lesquelles il avait grandit selon les principes de Moussa. Il avait toujours été élevé de manière à se sentir en valeur. Il avait bien grandit et faisait plus vieux que son âge. Bien que jeune, il affichait un machisme fort et ces valeurs lui avaient été intégrées de manière naturelle. C’est à cet âge là que Nassim décida qu’il était assez mûr pour devenir une Homme. Moussa, je vous le rappelle, avait indiqué que c’était au père de décider de ce moment.

Nassim et moi avions désormais 33 ans et les années avaient transformé l’Homme que j’avais épousé en un mâle encore plus beau et animal. Tous les jours, son devoir conjugal était de me mettre à ma juste place et le mien était de le mettre en valeur. Il décida alors un soir d’inviter son fils à assister à cet acte si valorisant pour un Homme. Rappelons-nous qu’à la naissance de Sami, Nassim avait déclaré vouloir que je sois son premier cul.

Sami entra alors sans hésiter dans la pièce conjugale dans laquelle pendant quinze ans Nassim lui avait interdit l’accès. Il découvrit alors des choses qu’il ignorait encore n’étant pas devenu encore un « Homme ». Il s’interrogea sur ce qu’étaient certaines choses dont Nassim lui expliqua tout.

Il y avait tout d’abord un mur sur lequel était exposées des photos de l’organe génital de son père, ce qui lui avait donné la vie. C’était un règle que Moussa avait crée, chaque mâle photographiait son pénis après l’éjaculation fécondatrice de la conception de l’enfant. C’était une manière de garder une trace de cet acte, et de montrer quinze ans plus tard à son fils un instant figé  de la grandeur de son père. Pour moi, c’était une photo de vénération. Mais l’explication ne s’arrêtait pas là. Dans la chambre, il y avait un livre. Le fameux livre que Moussa m’avait donné sur lequel étaient rédigées les lois. Près de celui-ci se trouvait un autre livre, celui-ci dédié aux mâles. Nassim le lui donna, il fallait le passer de père en fils. Il y avait notre lit conjugal, un King size, et à côté un petit lit de camp. Nassim expliqua naturellement c’était sur ce lit que je dormais quand il invitait un lope qui lui plaisait ou un demoiselle. Je me couchais dedans et admirais mon homme convertir une nouvelle lope, ou se faire plaisir. Enfin, ce dont Sami se posa le plus de question fut ce fauteuil rouge. Ce fauteuil, c’est celui dans lequel Nassim s’asseyait le soir pour sa lecture personnelle et durant laquelle je devais bien entendu lui pratiquer une fellation. Il aimait aussi si poser et fumer. C’était un trône.

Après lui avoir dit tout cela, Nassim demanda à son fils de s’assoir à son tour sur ce trône. Nassim m’invita à quitter la pièce et à rentrer quand il me le dira. Pendant de longues minutes, le père enseigna au fils l’art d’être un Homme, et lui fit prendre conscience de sa supériorité sexuelle. J’entendais Nassim féliciter son fils de ses parties intimes, il m’appela alors pour rentrer.

Les deux Hommes étaient nus et je m’agenouillai comme j’avais l’habitude devant Nassim. Naturellement ce dernier pris ma tête et je fis mon devoir devant un fils admirant le pouvoir de son père. La  pièce était silencieuse, on entendait seulement la respiration rapide de Nassim et la masturbation de son fils. Comme si son fils n’était pas là, Nassim me fit l’amour comme chaque soir. Il commença par la levrette qu’il trouvait valorisante et me rendait très soumis, puis il finissait toujours par le missionnaire. Etre allongé sur loi le rendait maitre de tout, et ses coups de hanches en étaient tout autant rapides.  Après des claquements intenses et un lit qui bougeait fortement, il cracha pour une énième fois depuis quinze ans sa semence en moi.

Tout juste sorti, il invita son fils à la remplacer. Ce dernier se plaça devant moi et me fit tout d’abord gouter son pénis. Avec bonheur je constatais que Nassim avait transmis les mêmes caractéristiques sexuelles à son fils. Epais, grande, Sami possédait un pénis que seul les Hommes africains ont. Un coup de langue, puis je la pris entièrement en bouche, dégustant un organe qui n’avait jamais été e bouche mais qui, croyez moi, en connaitra désormais des centaines. Il n’attendit pas longtemps pour venir me prendre en levrette et commenter à son père le bonheur d’être un Homme. Peu endurant il éjacula vite, mais son père lui indiqua que le temps le rendra plus endurant. Nassim avait filmé la scène, à la fin de l’acte il lança « coupé ».

Le cul dégoulinant d’une semence familiale, je dus me rhabiller pour la conserver. Les deux Hommes se rhabillèrent également et nous nous rendirent chez Moussa. Moussa détenait un livre avec la liste des fils de mâles et une fois devenus Hommes, ils devaient venir signer en prouvant leur statut d’Homme par la vidéo. Cet acte permettait de pouvoir accéder au droit de posséder un lope. Le tout fait, Moussa sorti le champagne. Nassim regardait son fils :

« Bienvenue mon fils ! »