Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 11:48

Moussa termina son enseignement à 8h, soit quatre heure après le début. J’avais désormais le cerveau en compote. Il décida de me raccompagner chez moi, parce que je n’avais pas encore la « gourmette ».


En arrivant devant chez moi, pour père sortait pour aller travailler, on était samedi mais il est banquier et travail le matin. En nous voyant arrivé, je fus surpris que mon père ne dise pas un mot. Ma mère sortit pour donner un document à mon père qu’il avait oublié, et eut elle aussi la même réaction.


Bah oui j’éduque votre fils, ricana Moussa.


Ma mère rentra et mon père partit, Moussa m’indiqua.


Je t’avais dit que presque toutes les lopes ici ont tété mon zob, tes parents aussi.


J’étais abasourdi, mais je m’en doutais. Je rentrai alors dans mon appartement, après un à demain de Moussa. Je me dirigeai alors dans ma chambre pour dormir.


Quand je me suis réveillé, il était 15h. En sortant de ma chambre, je suis allé dans ma cuisine où je trouvai mon père à table en train de lire mon contrat. Il leva la tête, et bizarrement eut un grand sourire.


Mon statut ne signifie pas que je peux pas être un minimum romantique, déclara-t-il. Ok je suis un mâle, j’exige des choses de ta part, mais si tu fais tout bien, moi je te traitre comme une reine.


Puis il continua à m’embrasser en s’appropriant virilement mes fesses. Bien sûr, je sentais que le mâle, l’Homme, l’animale, voulait s’exprimer. Ca durcissait rapidement, c’était incroyable. J’étais en slip, car je venais de me réveiller, et lui en boxer, visiblement à l’étroit à l’intérieur. Il prit enfin la décision de « lâcher le fauve » et descendis son boxer en laissant pointé son pénis qui le rendait si fier. Bien entendu, comme le disait le règlement, chaque fois qu’il était sorti, je m’inclinais. Il me fit d’ailleurs récité une petite prière uniquement pour lui :

N = comme la première lettre de son prénom

A= comme l’Attention qu’il me porte

S= comme le Serment qui nous lie

S= comme la Sécurité qu’il m’apporte

I= comme l’Immensité qui l’habite

M= comme sa Magnificence

Qu’il soit bénit car il incarne la perfection de l’œuvre de Allah.

 

 

Maintenant respecte moi ma tite lope, exigea-t-il


Et de la seul manière que l’on peut respecter un homme comme ça, je pris sa virilité en bouche et l’enfourna au plus profond avec un grand délice. Je réalisais une nouvelle fois l’incroyable supériorité de ces Hommes, le délice de leur organe. Il était si fier, et il le pouvait. Il se tenait droit, sens mains fermement appuyées sur ma têtes m’indiquaient le rythme à suivre, il était maitre de la situation. Je regardais en même temps vers sa tête, tantôt elle était penchée en arrière par plaisir, tantôt il me regardait virilement léchant son sucre d’orge comme une sucette, d’un aire macho mais avec un regard reconnaissant. Si comme tout mâle, Nassim savait être ferme et se faire respecter, il savait également être reconnaissant envers le bien que je lui faisais et le qualificatifs qu’il me lançait faisaient à la fois état de ma situation de « salope », de « pute à rebeu » ou de « bouffeur de zob » mais aussi m’encourageaient en faisant de moi son « bébé », « sa petite chatte » ou sa « propriété ». Tous ces qualificatifs renforçaient mon enthousiasme et mon entrain.


Quand il eut décidé d’arrêter cela, il fit une chose inédite. Le pénis aussi dur que du fer, il le prit en mains et sorti de la chambre, appelant mon père. Tout deux rentrèrent dans ma chambre et Nassim me fit refaire sa prière.


T’as vu comment ton fils se soumet bien par rapport à ta fille, ça c’est de la lope.


Et il décida de ma prendre en levrette pour montrer à mon père la dévotion totale à mon maitre. J’étais culbuté par  ses assauts virils, mes cris ne se retenaient plus. Nassim ordonna à mon père de partir et il continua ce qu’il appelait son « devoir ». Quand il crachat sa liqueur en moi, il était épuisé et transpirant, comme seul un mâle se dépense. Son affaire finie, il me fit nettoyer son zob et nous passâmes l’après-midi tout les deux, répondant à ses désirs, accomplissant tous simplement mon rôle. Quand il parti le soir, il croisa ma sœur dont il ne lança pas un regard. En me rendant dans la chambre, je remarquai qu’il avait gentiment laissé son calçons pour que je dorme avec et me rappelle son odeur. 

Par Love-arabic-guys
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