Suite à la demande d'un internaute, je débute un nouvelle histoire concernant une équipe de foot 100 % Halal.

Le vestiaire des footballeurs est bien souvent source de fantasme. Et bien je vais vous raconter ce que j'ai vécu, ce qu'il se passe réellement dans le vestiaire de l'équipe de mon quartier. J'habit un quartier dit plutot "sensible" mais je n'ai jamais eu de soucis et comme dans la plupart des cités, ici le foot est roi. Je ne connais pas un rebeu qui n'aime pas ça. A l'adolescence, j'avais donc voulu me fondre dans la masse et intégré l'équipe de football du quartier. Ici, la plupart des gens était issue de l'immigration. Mesparents étant ouvrier, ils n'avaient trouver qu'un appart' dans le quartier à la portée de leur portefeuilles.  

C'est donc décontracté que je me suis rendu à mon premier entrainement de foot. L'équipe était représentative du quartier, à 99% musulmane. Maghrébins et turques se cotoyaient, moi je me sentais bien à part, mais les premières salutations furent chaleureuses. Je suis entré dans le vestaire où je me suis changé; puis l'entraîneur entra et explica le déroulement de la séance. Il s'appellait Mohammed, il avait la trentaine. L'entrainement se passa bien ma foi, quand vint le moment du retour au vestiaire.

C'était alors le moment de la douche, et je fut choquer de l'impudeur des membres de l'équipe, tous se déshabillaient sans complexe, presque fierement. C'est quand je fis de même que l'atmosphère changea. Les regards se tournèrent contre moi.

- Hou regardez moi la gonzesse ! Pas un poil, pas de queue ! Lança l'un d'eux. 

Les autres rigolèrent. C'est vrai que j'étais complexé par la petite taille de mon sexe et mon imberbité surtout entouré de tous ces mecs. 

- T'es rentré dans l'équipe pour faire la pompom girl  ou quoi ? Dis l'un.

- Au moins il nous servira à la mi-temps ! RicaDemanda na un autre.

-T'as cru que tu avais ta place ici ? l'entraineur, Mohammed. Regarde-toi, à la limite t'aurais été circoncis ... Mais là, 

tu reflète bien la France, t'es de la race des faibles. Mais tu sera utile à cette équipe ! Tu vas gentiment te laisser faire ok.

- Mais comment ? Je suis pas gay moi, répondis-je !

-C'est ce que tu dis parce que toute ta vie t'as vu que de la queue de céfran, mais tu vas prendre gout au notre, ya rien de meilleur. 

Je ne dis rien, non sans exitation. Surtout à la vue d'homme autour de moi nu et de pénis gonfants.Mohammed me fit un petite tape aux fesses.

- Allez à genou ! Dit Mohammed d'un ton sec au regard noir. 

Je m'exécutai, silencieusement, justement l'atmosphère était silencieuse, les regards tournés vers moi. Mohammed repris :

- Les mecs, souhaitons la bienvenue à notre nouvelle recrue ! 

Puis il empoigna ma tête et une substance dure entra dans ma bouche sans que je ne me rende compte. Autour de moi, j'entendais que ça s'agitait et ça ne manquait pas de commentaire. Tous autour était maghrébin, africian turc, enfin musulmans, et les français en prenait pour leur grade.

Pour moi c'était tout nouveau, avant je n'avais toujours aimé que les filles, et j'avoue que le corps d'un homme me dégoutait plus qu'autre chose. Mais étrangement là je me laissait faire, je ne ripostait pas. Et le pire, c'est que ma bouche était pleine d'une saveur que je ne connaissais pas, mais qui me plaisait. Oui j'aimais ça, et surtout, j'étais impressionné par sa corpulence. Quand je dis qu'avant le corps, et surtout le sexe d'un homme me dégoutait, c'est sans doute pour les raisons que Mohammed avait évoqué, parce que je n'avais vu que ça,  pour moi, un pénis ce résumait à cette pétite chose fripéen ridéen laide. Mais là, parfaitement sculptée, et coiffée d'un gland volumineux, je redécouvrait, ou plutot découvrait sa beauté. C'étais comme une illumination, un coup de foudre, et je comprenais alors pourquoi il y a ces "gays". Chose alors inconnue chez moi, j'étais en totale soumission, et cela aussi me plaisait. J'en avais eu des pipes, j'en avais tenu des têtes, mais là, être à leur place provoquait chez moi une exaltation, les mains dures et fortes de cette homme pronant du plaisir en ma bouche, je me sentais valorisé, utile. En y réfléchissant, cette révélation en moi me faisait sentir comme si c'était déjà en moi, comme inné. Et alors, les mots d'un des membres de l'équipe me firent un déclique :

- Elle aime ça la chienne, normal elle est né pour ça !

C'était ça, une sorte de prédestination.

A suivre