Après plusieurs minutes, les deux cousins revinrent toujours nus et une bière à la main. En entrant dans la chambre, ils me regardèrent quelques secondes, puis Nassim prit la parole : 

Ya moussa le boss qu’arrive pour voir ce qu’on fait de toi.

Il ne fallut pas attendre bien longtemps pour entendre la porte s’ouvrir et la démarche masculine de Moussa. Il entra dans la chambre tel un roi, il y eu un silence. Il me fixa, enleva son tee-shirt laissant apparaitre son torse musclé que j’avais vu tant de fois à l’école, puis il regarda Mohammed.

T’es qui toi ?

C’est mon p’tit couz’, je l’initie, intervenu Nassim.

Ok ! Bon là vous me laisser tester seul, partez ! Declara-t-il de manière autoritaire.

Les deux cousins s’en allèrent me laissant seul avec le boss de la cité, celui par qui toutes les décisions passaient. Il m’expliqua que les choses étaient simples. Il décide si oui ou non Nassim peut me garder. Si je suis « bonne » normalement il me garde pour lui mais comme Nassim est son meilleur pote il fait un exception. En revanche, si je ne le satisfais pas, je serai tourné par la cité.

J’vais sortir mon zob, tous les gays et presque toutes les filles l’ont gouté, j’vais donc te demandé de t’incliner devant mon palmarès. Cette cité m’appartient.

Et il descendit son pantalon et son boxer mettant en évidence son organe encore au repos mais toujours aussi impressionnant que lorsque je le voyais aux vestiaires. Je me mis à genoux et compris que cela ne suffisait pas, il fallait que je m’abaisse bien plus bas, en position prière musulmane. Une fois à ses pieds, il me fit réciter ce qu’il appelait ses dix commandements.

1- Tu n’auras pas d’autre boss devant ma face

2- Tu respecteras ton maitre (Nassim) mais ton boss (moi) aura toujours plus de pouvoir.

3- Tu ne me manqueras pas de respect.

4- Tu parleras de moi à tes homologues (gays) en conquérant victorieux et tu me glorifieras.

5- Tu t’inclineras à chaque fois que mon Pénis sera sorti ou tu y baisseras les yeux en lieu publique (vestiaires).

6- Tu seras dispo chaque fois que je le désirerai.

7- Tu me nommeras par des noms glorifiant tels que « le grand » ; « le puissant » ; « le boss » ; « le roi » ou « le seigneur d’ici » et tu ne prononceras plus mon prénom.

8- Tu reconnaitras que l’Afrique est la terre des Hommes, les vrais.

9- Tu ne me couperas pas la parole.

10- Tu me feras chaque mois un compte-rendu sur le comportement de ton maitre Nassim mon « collègue » dont je suis le directeur.

Une fois tout cela récité, je pus relever la tête et constater que me voir ainsi l’avait excité. Son pénis était désormais bien droite et je prenais conscience d’avoir devant moi le plus gros organe du quartier, sans doute le plus gros de ma vie. Il m’indiqua de citer ces commandements à chaque fois qu’on se verrait pour des rapports et à chaque fois qu’il l’exigerait. Il s’assit tranquillement sur la chaise et prit son manche en main en me regardant dans les yeux. Une nouvelle fois je m’inclinai devant son pénis comme le précise le 5^ème commandement. Il m’apprit que plus largement, cela signifiait que la  position debout m’était interdite lorsque l’engin était de sortie. Il m’indiqua d’avancer, ce que je fis à 4 pattes, et me fit arrêter alors que j’étais nez à nez aux parties viriles de son anatomies. Il fit donc les « présentations » et « m’éduqua » pour reprendre ses mots, sur l’anatomie masculine que selon lui je ne connaissais pas réellement. Il s’exprimait de manière autoritaire et didactique.

Voici un Pénis, t’en a déjà découvert un avec Nassim déjà. Le miens fait 25 et je considère qu’il faut minimum 18 pour pouvoir s’en servir dans toute son utilité. C’est pour ça qu’ici les mecs doivent me la montrer pour avoir mon accord, et que si c’est pas circoncis et black ou rebeu c’est niet. Je veux une équipe de mâles pas de mauviettes.

Il poursuivit.

Par la méthode que t’a montré Nassim tout à l’heure, ça permet d’engrosser nos femmes par les liquides de ces boules là, et surtout, d’affirmer notre rôle d’Homme. C'est-à-dire que pour nous un bonhomme il a un bonne pair de couilles, il sait s’en servir, il se fait pas marcher sur les pieds mais il met les autres à ses pieds. J’apprends tous ces truc là à mes Hommes. Comment se faire respecter, comment posséder ses petites lopes, comment être ce qu’ils sont censé être quoi. J’aurais honte qu’un mec de ma race ou un beur ne soit pas un vrai mâle. Je le forme donc, pour qu’ils prennent conscience de leur statut, de leur chance.

Ces abdominaux je les ai eu grâce à la muscu, ils nous permettent encore une fois d’affirmer notre virilité par des assauts de reins violents et efficaces. Tout est lié en faite. Les pectoraux et les bras c’est pareil, grâce à ça on peut s’imposer face à des concurrents lors de combats, mais surtout on intimide ce qui nous rend plus puissants.

Cette démonstration m’avait fait réaliser à quel point l’homme français n’avait rien de tout ces attributs qui font un vrai homme. Moussa m’avait alors convaincu que seul les Hommes blacks et arabes pouvaient être appelés des Hommes. Il n’avait pas fini, me montrant ses fesses en m’expliquant leur rôle dans l’acte sexuel. Il se mit ensuite devant moi à exercer des pompes avec une facilité déconcertante puis il simula rapidement un acte sexuel me montrant chaque mouvement du corps et le rôle de chacun des muscles. Je n’avais jamais remarqué à quel point la nature était bien faite et comment tout semblait, chez un Homme, être fait et mis en corrélation pour l’acte sexuel.

Il se releva et m’invita à lui présenter mon cul. De la même manière que pour lui, il expliquait comment mon anatomie était prévu pour recevoir un Homme. Des fesses rebondies pour attirer et pour faciliter les rebondissements des vas-et-viens, un petit pénis pour preuve d’inutilité, des jambes souples (oui c’est vrai)  pour facilité la pénétration, une bouche pulpeuse pour accueillir un pénis, un corps peut musclé pour montrer ma vulnérabilité et ma nécessité d’être protégé ou encore ma myopie en précisant que pour sucer il n’y a pas besoin de voir loin.

Il me demanda alors par la suite de le respecter. Je ne compris pas tout de suite mais sa main sur ma tête me fit comprendre que Le Puissant désirait une fellation.

Le respect d’un Homme ça passe d’abord par respecter ce qui fait de lui un Homme. Vas-y Respecte-moi !

Et pendant que pas à pas, son pénis encombrait ma bouche, il me demanda de toujours le regarder dans les yeux. En bouche, elle était délicieuse, un léger goût d’urine laissait place à un goût sucré très masculin. Il était calme et ne gémissait pas comme les autres Hommes car lui était habitué, c’était banal. Il parlait toujours d’explications éducatives sur nos anatomies.

Tu vois même ta gorge est faite de manière à encaisser les dizaines de centimètres. Moi une queue ça me ferait dégueuler mais toi non, parce que ton cerveau a fait que tu aime ça, comme si vous avez été programmés tous autant que vous êtes pour aimer ça. Comme moi j’ai été programmé pour être un mâle. Regardez vos cheveux sont faciles à empoigner contrairement aux nôtres qui sont frisés. Ceux de nos femmes sont long pour remédier à ça. Et nos organes sont circoncis pour être plus endurants, nos glands volumineux pour écarter chaque rondelle.

Nos bourses produisent beaucoup de sperme, ce qui nous incite à avoir des rapports sexuels plus nombreux pour l’éjecter. Ces mêmes rapports sexuels qui font de nous des Hommes. Tu vois, tout est fait pour nous mettre en valeur. Même ta petite taille, même ta pilosité moins importante pour justement te rendre plus frileux et donc te faire sentir le besoin d’être réchauffer. Je t’apprendrai d’autre chose plus tard, continue à me respecter.

Une fois mon devoir fini, il s’estima prêt à pouvoir « conquérir un nouveau territoire ». Il s’exclama «  en tant que Roi de la cité Les Moulins, je prends possession de toi et te fais mon serviteur ». Ni une ni deux, je sentis comme si mon arrière train était écartelé.

A suivre !

Nous arrivâmes devant la porte de l’appartement de Nassim. Mohammed, ouvrit la porte sans frapper, et se dirigea dedans comme si c’était chez lui, j’appris plus tard que c’était un cousin. Il avança devant moi dans le couloir et entrouvrit légèrement la porte, j’entendais des gémissements féminin. Mohammed me fit signe d’avancer, et j’ouvris donc la porte pour entrer dans la chambre. Nassim était tranquillement nu, assis sur une chaise à se masturber devant un porno. Il se tourna et demanda à son cousin de quitter la pièce. Puis, il se mit debout et avec un sourire narquois que  je connaissais bien, il s’exprima fièrement :

Voilà un homme !

Il se tenait devant moi, grand, beau, pectoraux, abdominaux, et bien sûr, pénis en érection magnifiquement droit, pointant vers le ciel. Jambes poilus, bourses pendantes et fermes, un étalon arabe tout simplement.

Tu t’fous d’ma gueule ? Agenouille-toi devant ça ! Ta sœur ta pas appris les bonnes manières ?

Je m’exécutai alors, et me mis à genoux devant lui, soumis à sa grandeur, à la fois physique, mentale et sexuelle. Il m’indiqua qu’il espérait que je sois plus obéissant que ma sœur, car selon lui c’est pour cela qu’il avait cassé, alors qu’elle m’avait dit que c’était à cause de ses infidélité, elle avait menti par honte de ne pas s’être soumis à lui. Devant moi, j’avais un de mes plus grands fantasmes, je le matais à l’écoles, et là il était nu, devant moi. Je m’apprêtais à le téter quand il m’interrompit :

C’est bien t’a la réflexe, mais pas toute suite, fais la durcir.

Mais elle l’est, répondis-je.

Ahah ! C’est parce que t’a sucer que des ptits teub françaises, jamais de vrais Hommes, je sais ça fait bizarre, mais t’inquiète t’es faite pour ça.

Son langage me surpris mais je compris, il m’avait parlé au féminin. Il me demanda de retirer mes vêtements, je m’exécutai.

Limite faudrait la couper tellement elle te serre à rien, lança-t-il avant d’ajouter, montre moi ta chatte.

Je me retournai et sentis la caresse de sa main qui me donna un petite claque. Cela dura 2-3 minutes, puis il me dit de me retourner.

Le choque, mes yeux sortaient presque de leur trou. Il disait vrai, son volume avait doublé. Je comprenais pourquoi j’avais trouvé des boites de préservatifs XL dans la chambre à ma sœur. Il ria et cria « Momo, viens voir sa gueule ». Ce dernier arriva et ria à son tour. Mohammed avait 2 ans de moins mais faisait plus vieux, 16 ans donc. Il était toujours puceau, c’est pourquoi Nassim lui indiqua de prendre une chaise et de se mettre sur le côté.

Cousin, je vais te montrer ce que c’est un Homme, ta pas de frère et de père alors faut bien t’apprendre.

Je vais le baiser ? demanda-t-il avec excitation.

Non, mais je te donne des cours, être un Homme ça s’apprend, même si nous on a ça dans le sang, maintenant tais-toi, j’ai du taf.

Il me regarda et me demanda de montrer à quoi je servais. Je pris son organe en bouche et il pencha sa tête en arrière de plaisir. Il appuya sur ma tête en indiquant :

Cousin, sors ton gun, j’vais juste t’autoriser à te faire pomper, c’est tellement bon que ça me ferait culpabiliser. 

Je m’étais donc inscris, un samedi après-midi, sur un site de rencontre gay, spécialisé dans la rencontre beur-blacks. C’est avec excitation que je créé donc un compte, mis des photos de moi et une petite annonce :

Je cherche un Homme, un vrai, arabe ou black, j’aime me sentir lope. Je suis du 93, si t’es intéressé n’hésite pas.

Il ne fallu que quelques heures pour avoir les premières réponses. C’est ainsi que j’eu quelques plans cul, sans plus. Mais j’en voulais plus,  je voulais un mec pour du sérieux à l’image de Moussa et Nassim, je veux dire, mentalement et aussi et surtout, physiquement et sexuellement.

Quelques mois après m’y être inscrit, je reçois un message d’un certain « monsterzeb » :

Yep, t’aime le zob toi je m’en doutais vu comment tu me matais moi et les autres. Tite pute.

Je ne comprenais pas, je ne savais quoi répondre. J’étais partagé entre l’envie de savoir qu’il était et la craindre. Je savais qu’être découvert signifiait pour moi le début d’une véritable servitude. J’avais lu, sur internet, le sort réservé au gays dans les cité.

Le week-end passa, et plus rien. C’est donc tranquillement que le lundi, je me rendis au lycée. J’arrive dans ma classe, je dis bonjour à mes amis et tout le monde. Puis vint le cours de sport, mon moment préférer pour admirer mes camarades de classe en calçons. Ce jour là, sur le banc devant moi se trouvent Nassim et Moussa en train de se changer, j’admire alors en même temps les deux plus gros « paquets » de la classe. Nous sortons tous en même temps dans le gymnase mais j’oublie un crayon, je retourne donc dans le vestiaire et en profite donc pour sentir, sniffer, les jeans des deux Hommes à la braguette. Je sens une délicieuse odeur masculine comme j’aime mais je fais malencontreusement tomber mon crayon par terre. En fait, celui-ci est tombé dans le sac à Nassim. En mettant ma main dedans pour le récupérer, je sens une vibration, c’est son portable. Indiscrètement, je regarde et constate qu’un certain Mohammed lui écris « tu feras tourner ?», en même temps, je réalise qu’il s’agit d’une réponse à un message que Nassim lui avait envoyé avec mes photos. C’était donc lui, l’homme qui m’avait tan fait fantasmer savait tour. Mais que faisait-il là ? Inquiet, je me précipitai dans le gymnase pour rattraper les autres, sous les regards de la bande à Moussa, Nassim ricane :

Tiens une demoiselle.