J'aime les homme arabe

Karim me fit avancer, devant les regards de ses amis. Il m'indique une petite pièce avec un porte, en me précisant qu'on sera plus tranquile. Une fois à l'intérieur il ferme la porte derrière luin et, en tant qu'Homme entreprenant, il m'embrasse gouleusement, en me pelotant les fesses de ses mains fortes.  Il me regarde ensuite, me sourit, me carresse le cheveux, me réembrasse. Soudain, il s'assit sur le divan juste derrière, d'un sourir coquin il sort les parties viriles de son anatomie, déjà en posture de reproduction. Je comprends alors ce que je dois faire.

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Je m'agenoue donc, je commence à avoir l'habitude, et entrepris ce que je faisais désormais avec professionalisme. Karim, lui fumais une cigarette, parfois appuyait sur ma tête avec sa main gauvje, en signe d'encouragement. Il me félicita sur mes qualités dans ce domaine, et m'informa que ça meuf n'arrivait pas à mes chevilles. Je le regardai d'un coup, puis il ajouta qu'il l'avait "engrossé", et qu'il trouvait ça sale, donc c'est pourquoi ile venait ici, même s'il le faisit déjà avant. 

 

- Ma descendance est en marche, avoua-t-il, ce sera un fils !

 

A ces mots, je revis l'image de la famille de Ghassene, du père et ses deux fils, le fils de Karim, deviendrait sûrment lui aussi, un sacré queutard avec un père comme lui, enfin, un Homme tout simplement. Il déclara qu'il allait tout de suite me montrer comment il s'en servais de "sa machine à bébé " commme il l'appelait.

 

- Mets-toi à 4 pattes et cambre bien, tu vas comprendre pourquoi on me surnomme le marteaux piqueur.

 

En position, je sens ses lourdes mains, se poser sur mes hanches, le manche au bord de mon fion, il pointe, s'avance, je 'mouvre, il avance, je la sens en moi, son râle me fait comprendre qu'il va désormais entamer sa terrible chevauchée. Mon cul est banlancé, j'ai l'impression de saigné, il y va si fort, c'est simplement la deuxième fois qu'un Homme rentre ainsi dans mon intimité, après Ghassene. J'ai l'impression d'être un pute, ce qu'il me confirme pas ses mots, ses insultes qu'il me lancent. Il prend son pied, puis soudain, me penche un peu plus en avance, pour être dans un meilleure position, il peut désormais me prouver ce qu'est un marteau piqueur. Même dans les meilleurs porno, je n'ai jamais vu une rapidité pareil, à peine au fond qu'elle est déjà sortie. Je suis complément dilaté, la chatte en feu, il l'avait dit, j'ai le feu au cul. Il râle, je hurle, ses assaults démontrent une nouvelle fois pourquoi de plus en plus de femmes et de gays  se tournent vers les Hommes arabes. Il gicle alors ce fameux jus qui lui a parmis de devenir un père dans quelques mois. Je n'ai plus de cul, plus de voix. Mais en bon mâle, karim n'a pas fini, il déclare à voix haute un "allah akbar", puis repart pendant 5 bonnes minutes dans une chevauchée sportive, sous les encouragements de ses amis derrière la porte. 

"Karim ! Karim ! Karim !" crient ses amis, puis, une deuxième ejaculation, encore plus intense. Il est en sueur, moi aussi. Il m'embrasse et me gratifie d'un "t'est bien bonne !".  Nous ouvrons la porte et sortons sous les applaudissements des ses amis. Parmis eux, un jeune garçon se dégage et avance en ma direction, je découvre stupéfait qu'il s'agit de Sami, un camarade de classe de 6ème, 5ème que j'amais en secret. Il m'adresse la parole :

- Si j'avais su ça au collège, ça m'aurait évité d'être toujours puceau.


Mar 27 mar 2012 Aucun commentaire