J'aime les homme arabe
Deux moi après mon mariage, j’avais reçu le devoir par Moussa de former d’autres future mariés et lopes. Lui n’avait plus trop le temps tout comme les autres. Il avait décrété un « généralisation ». C’est-à-dire qu’il avait décidé pour le bien être de sa communauté et par justice des « lois de la nature », que tout ceux qui sont disposés à devenir des lopes le deviennent. C’était en faite une gigantesque conquête au cœur de la cité, un « généralisation » du lopage pour tous ceux qui ne sont pas des Hommes selon sa définition. Il y avait par exemple au lycée, dans les vestiaires ou aux toilettes, des contrôles. Pénis circoncis ok ! Si bien membré, black ou métis mais non circoncis, il fallait passer au bistouri etc…
D’ailleurs, dans les toilettes on entendait désormais les gémissements/hurlements des lopes et les râles virils de mâles en action. Les fellations étaient pratiquées en publique pour mieux montrer la puissance. Nassim avait été nommé « premier ministre » par Moussa. Quand Moussa était indisponible, alors il pouvait prendre la décision à sa place par rapport à n’importe quel problème qu’il rencontrerait. Il était un mari parfait et me rendait heureux. J’avais l’autorisation de sortir seul mais toujours avec une sorte de biper qui faisait aussi localisateur. Il allait être papa car il avait fécondé une jeune fille devant mes yeux.
Dans la cité il y avait donc de nouveaux mâles fraichement formés et des lopes. Pour les autres, ça n’était qu’une question de temps. La généralisation se faisait également par le biais de « razzia » (signifie pillage, irruption, descente). Pendant celle-ci, au moins 2 mâles débarquaient chez une « lope ciblée » quand elle était seule chez elle, et lui imposait de devenir une lope. Ca ne faisait pas par la force, mais par le verbal parfois violent. En acceptant sa « conversion », la lope était conduite chez Moussa ou Nassim pour jugement et décision d’un maitre. Ce dernier appliquait ensuite le même rituel que Nassim avait utilisé avec moi, c’est-à-dire le marquage de territoire de tout objet avec son pénis et urine.
Ceux qu’ils appelaient les « lopes teigneuses », les têtues, étaient alors réunies et assistaient à des soirées « abattage » où de jeunes lopes étaient partouzées par des mâles. Ils assistaient également à des démonstrations de la supériorité des mâles africains.
Moussa prônait par cela une « pseudo-religion ». « Nous adorons Allah, vous nous adorez » avait-il dit. Il appelait ça le « Mâlisme » (l’adoration du mâle) ou bien le « Normalisme » tant pour lui cela semblait naturel et normal. Dans les toilettes du lycée, seul les mâles utilisaient les urinoirs (ou des bouches s’ils le voulaient), les lopes devaient bien entendu être en cabine et uriner assise tant leur sexe était jugé inutile. Dehors on voyait des regards se baisser à leur passage.
Nassim eu un fils quelques mois plus tard. Fier de sa progéniture maghrébine, il l’avait fait circoncire à 3 semaines (l’islam n’imposant pas d’âge). Il souhaitait le plus tôt possible pour qu’il grandisse avec cette fierté. Elle avait d’ailleurs eu lieu avec la présence de Moussa. Son nom était Sami, Nassim m’avait laissé le choisir. La mère ne souhaitant pas le garder, nous allions l’élever tout les deux. Heureux, Nassim planifiait déjà d’apprendre au plus tôt à son fils les valeurs d’un Homme et son droit au respect qu’il avait acquis par cette circoncision.
Les matchs de foot inter-cités étaient devenus des événements habituels. Le processus de généralisation avait été repris par les banlieues environnantes et bien d’autres en France. Les lopes étaient supporters et aux mi-temps notre devoir était de masser, nos mâles, les sucer. Il n’était plus surprenant de voir, dans l’euphorie de la victoire, des mâles en érection imposer le respect aux lopes des camps adverses.
Les « pseudo- mâles » c'est-à-dire ceux qui sortaient avec des filles et qui se prônaient pour des mâles sans en avoir les caractéristiques et sans savoir qu’au fond d’eux se cachait un salope, étaient rapidement remis à leur place. Leurs copines était devant leurs yeux baisées et ils constataient en direct à quel point elles préféraient les mâles. Ils prenaient conscience alors de leur infériorité et incapacité à satisfaire. La plupart abdiquait face au conquérant et ils étaient à leur tour formatés au lopage. Les plus retissants subissaient alors l’usage de la force, c’était parfois même violent mais ils comprennent vite que face à un mâle, on n’est rien.
En plusieurs mois la généralisation fut accomplie et nos mâles se promenaient fièrement dans les rues du quartier, imposant leur respect. Il ne fallut pas longtemps pour voir de nombreux ventres féminins s’arrondirent. Beaucoup de mâles voulaient au plus vite une descendance. Moussa avait d’ailleurs défini des règles, les nouveaux né mâles devaient être circoncis au plus vite, dès que selon le père il sera assez mûr alors il recevra les enseignements qu’il doit connaitre. Il est important qu’ils grandissent dans un environnement où sa supériorité lui sera évidente, naturelle. La première fois de chacun devra s’effectuer sous le regard bienveillant du père, le formateur. Les nouveaux nés féminins devaient être éduqués par la mère et les valeurs devait lui être inculquées afin d’être opérationnelle quand un mâle décriera s’en affranchir.
Plus personne ne se cachait. Les mâles entraient dans les appartements familiaux et prenaient le père, la mère le fil … qui ils voulaient. Le soir, dans mon lit l’été, quand ma fenêtre était ouverte j’entendais de divers endroit des hurlements de lope. C’en était d’ailleurs valorisant pour nos Hommes. Il arrivait à Nassim d’être réveiller dans la nuit et réclamer l’accouplement. Je me vouais à mon devoir conjugal. Et si le voisin était réveillé par mes gémissements, alors il faisait de même. Au petit matin parfois on entend des mâles se vanter de leurs ébats nocturnes. Nassim parlait d’ailleurs de moi en bonne femelle dévouée.
Tout était désormais calme, l’ordre « naturel » semblait enfin rétabli.