J'aime les homme arabe
Depuis quelques années déjà, Younes avait de plus en plus d’influence que Moussa. il disposait d’ailleurs du plus grand harem et le sombre de ses descendants était impressionnant. A ses début il y a quinze ans, il avait fécondé presqu’une femme par jour pendant une courte période, de nos jours, il avait généré vingt enfants, dont 12 mâles. 5 étaient déjà des Hommes. Kader, l’un deux, avait d’ailleurs un jour été arrêté par un policier pour un petit vol. Il lui avait suffit de baisser son pantalon pour soumettre l’agent de police à un « devoir de citoyen » lui avait-il dit. Cet épisode lui avait valu le respect de tout les mâles de son âge. Plus précoce que son père, son premier fils était déjà en route. Les fils de Younes avaient été éduqués par un Younes tout en puissance.
Mais pourquoi, alors que moins bien monté que Moussa, avait-il désormais plus de pouvoir ? C’est simple, après quinze ans Moussa n’avait toujours pas de descendance, il annonça alors à tout le monde qu’il était stérile. Cette nouvelle fit l’effet d’une bombe. L’initiateur de tout ça ne pouvait avoir de fils pour lui succéder, Younes, chef à ses côtés devenait alors plus puissant. Le succès de Moussa auprès des lopes et filles chuta alors, bien qu’il demeurait toujours aussi beau et avait toujours un pénis d’une taille inégalable. Il se retira alors peu à peu, et parti dans sa famille au Congo. Nassim voulait reprendre la place de son ami, mais Younes le stoppa, il voulait Reigner seul. En tant que chef tout lui était permis donc. Moussa n’abusait pas de ses pouvoir, Younes lui en abusait. Un soir il avait déparqué dans l’appartement et s’était battu avec Nassim. Mais il était le chef, et ne pouvait pas refuser. Alors laissait Younes allait dans la chambre avec moi, comme il aurait laissé Moussa le faire.
Younes était un Homme autoritaire. Mais il était aussi un redoutable stratège. Son pénis sorti, je fis ce que j’avais à faire. Il m’expliqua alors qu’ici les règles allaient changer. Il aimait l’argent et projetait de rendre rentable les meilleurs lopes. Après l’avoir vénéré, je voulu prendre son pénis encore en repos. La main à peine dessus, celui-ci se réveilla. Moussa était mieux loti, mais par contre Nassim en avait un plus petite. Ses mains ferment appuyèrent sur ma tête et ce que je ne voulais pas réaliser se réalisa : j’aimais son pénis plus que mon Homme. Et Younes le remarqua, il me regardait, me biflait, et moi je me régalais. Son goût, son odeur, tout me plaisait. Quand nous en vinrent à l’accouplement, c’est sans me faire prier que j’écartai les jambes. Depuis que moussa était parti il y a 7 mois, seul Nassim me faisait évidement l’amour. Mon trou n’était donc plus habitué à recevoir un calibre supérieur à celui de Nassim. Dans la douleur mélangée au plaisir j’hurlais. Nassim comprenait très bien ce que cela signifiait, Moussa c’était son meilleurs pote, ça ne le dérangeait pas, mais là, il était atteint dans sa virilité. Je l’entendais frapper contre la porte de la chambre, il insultait Younes en arabe. Mais la porte était fermée à clé. Younes rigolait d’ailleurs et m’invitait à ne pas hésiter à hurler. Il me demanda finalement de crier à Nassim de partir. Mon refus le fit devenir plus brutal et ses crachats sur mon visage, bien qu’excitants, me firent capituler.
Parts Nassim ! lançais-je dans un hurlement.
Tu vois ! se marrait Younes.
Un claquement de port indiquèrent que Nassim avait quitté les lieux et pendant se temps, je m’offrais complètement à ce nouvel Homme. Dans des jets puissants, il éjacula en moi me donna par la même un orgasme.
C’est qui le meilleurs ? Demanda Younes !
Telle une vraie salope, je dus me mettre face à la vérité.
Nassim n’est pas à la hauteur.
Quand il ouvrit la porte, Nassim qui avait fait croire à son départ, lui sauta dessus. Un combat de coq. Je leur ordonnais d’arrêter mais leur fierté masculine les firent ne pas m’écouter. Puis un léger calme, Younes mis en avant alors la loi de la taille, qui veut que lorsque deux mâles se disputent une lope, le mieux monté gagne. Avec 3 cm de différence et un pénis de 4 cm plus large, Younes gagnait. Nassim me regardait désespéré. En tant que mari il réclama le respect. Je mis alors à genoux quand Younes m’interrompit.
Attends tu m’a dit quoi tout à l’heure ? Dis allez !
Je niais.
Tu as dis que Nassim n’était pas à la hauteur.
Nassim me demanda confirmation et j’avouai. Il demanda alors à Younes pourquoi un Homme comme lui, un chef qui peut coucher avec n’importe qui voulait lui piquer sa lope avait qui il était marié.
Parce que je la veux dans mon harem et qu’en tant que chef je peux prononcer le divorce, que je fais maintenant d’ailleurs.
Nassim ne pouvait rien faire, et me laissa partir avec Younes. Après tout, c’est un Homme, il allait s’en remettre.
Chez Younes nous étions une vingtaine de lopes et de femmes à la disposition de son Altesse Younes et de ses fils. Son avait une fenêtre qui donnait sur la fenêtre de mon ancienne demeure. Ce soir là, je vis mon ex mari s’accoupler avec plaisir avec une autre lope, tel un Homme, il avait déjà oublié.
Ce soir là je m’endormis sous des bruits de lits grinçants et de gémissements. Nous étions tous dans la même pièce et Younes et ses fils venait chercher la lope qu’il voulait pour la nuit. On entendait alors à des moments différents des pas dans la pièce. « tiens un nouveau fils vient d’entrer, qui va-t-il prendre ? ». ce soir là je ne fut pas choisi car je n’avais pas été présenté. Les autres m’avaient dit que le fils Kader était le mieux, celui qui avait déjà une descendance en cours possédait parait-il un organe à couper le souffle. Par ailleurs on m’expliqua que Abdel était réputé pour être le plus dominateur. Pour preuve il avait décidé d’imposer l’interdiction de sortie la personne qu’il choisira pour se marier. Tout le monde s’endormit.