J'aime les homme arabe

Au réveil, je me suis dirigé dans la cuisine où avec les autres je préparai le petit déjeuner de ces messieurs. Quand ils arrivèrent, nous tirâmes une révérence et ils choisirent chacun quelqu’un pour « passer sous la table » durant le petit déjeuner. Par chance, je fus choisi par Kader, il déclara fièrement « tu vas voir comme c’est bon la bite d’un futur papa ». pour Kader d’ailleurs, je n’avais pas le droit à un petit déjeuner après, tellement son pénis était considéré comme rassasiant. Il était torse nu, en calçons.


Installés sur une table en long, toutes les lopes sélectionnée s’installèrent sous la table et baissèrent les calçons de l’homme qui les avait choisi. La langue française est mal faite pour décrire les mâles. Aucun mot ne peut être utilisé pour décrire ce que Kader portait entre ses jambes. Plus grand même que Moussa, c’est sur, Younes avait un successeur évidant, ses tout juste si Younes était ridicule. Là oui, je crois qu’on peut parler de monstre. Là oui, j’ai compris (même si avant je pensais avoir compris avec Nassim) réellement ce que l’expression Supériorité Africaine et plus particulièrement Arabe signifiait. Oui, ce jour là, j’ai compris que le prophète Mahommed peut être fier de ses fidèles. Oui, l’Homme arabe domine le monde par ses capacité sexuel, c’est une réalité qu’il serait stupide de réfuter.


Soyons honnêtes, face au plus gros pénis de ma vie, je ne su quoi faire. Le prendre ne bouche ? Oui mais comment ? J’en avais pourtant tellement envie. Son odeur, hum qu’elle sentait bon. La veille il s’était fait un lope et il demeurait des traces de sperme. Son passage aux toilettes à son réveil se sentait par une douce odeur d’urine. J’en pouvais plus, face à ça j’ai pleuré. Pleuré de joie bien entendu. Ça y est, voilà la chose que inconsciemment je désirait depuis ma naissance. Kader jeta un coup d’œil sous la table.


Alors tu le bouffe ce zob ?


Et dans ma bouche je pris son organe. Pour la première fois de ma vie, j’avais un véritable orgasme de la bouche. Un plaisir indescriptible. En face quand je la tenais droite, elle faisait la hauteur de la tête. Je pleurais, je remerciais Dieu de tout mon être, de toute ma servitude. Et sur ce Kader déclara avoir trouvé sa « femme » en moi. Et sous de puissants jets il me demanda en mariage. Et le regardant la bouche dégoulinante de sperme et le visage en pleure je le regardais répondant « oui » à l’Homme des Homme les Mâle des Mâles. La fierté de tout un peuple, la fierté d’une race qui par le plus bel organe que Dieu a créé impose son respect, sa gloire, sa puissance. Et ma vie étant désormais celée. L’Arabie m’avait conquise. Ma vie se passera à vénérer un être à la beauté surnaturelle.

FIN

Jeu 14 jun 2012 Aucun commentaire