J'aime les homme arabe

 

A quelques minutes de marches nous y étions. Un petite maison toute simple dont Hamed sortit les clefs de sa poche et ouvrit. En entrant à l’intérieur, cela me surpris. Plusieurs lopes présentes s’agenouillèrent pour saluer l’arrivée de celui qu’ils appelaient Hamed Le Grand. Ghazi constatait avec admiration que son géniteur avait fait de sa virilité un argument de soumission. Ici la plupart des lopes portaient des tenues légères. Hamed nous fit visiter et ici tout était fait pour que lui et ses invités mâles, quand il en invitait, se sentent bien. En plus du salon, il y avait une pièce spéciale, assez grande, où des canapés étaient mis en rond pour les soirées chicha, le tout était surélevé de manière à pouvoir au pied, mettre des lopes et faciliter des gatteries. Il y avait bien évidement des matelas, pour les accouplements publiques. Les lopes dormaient toutes dans la même pièce, dans des lits superposés. Il y avait un chambre appelée la « chambre du Chef », où Hamed avait la plupart de ses rapports. En face du lit kingsize, des chaises, il avait l’habitude de s’accoupler publiquement. En plus de cette chambre, trois autres chambres d’invité pour ses trois meilleurs amis qui venaient se détendre.


Dans le salon principale, il y avait une photo géante de lui, nu, en érection. Et en fait, tout dans la maison était fait pour le mettre en valeur. Il avait des toilettes privées par exemple, mais dans un coin du salon, il y avait un urinoir uniquement pour lui. Uriner en publique était un symbole de virilité, de non pudeur, de fierté même, comme les hommes pissent dans les toilettes publiques ou dans la nature. Cela contrastait avec la pudeur des lopes. Mais surtout, cela servait à un véritable rituel. Hamed, leur imposait de boire quelques goutes de son urine (pour que tout le monde en ait), pour mieux s’imprégner de celui qui les possédait. L’urine était stockée dans un petit réservoir sous l’urinoir. Certaine lopes chanceuses avait parfois le privilège de gouter « à la source ».


Hamed avait inventer un système ingénieux pour savoir qui baiser quand il voulait. En effet, si le fait d’être un lope demandait d’être bien préparée, propre, car il faut se nettoyer etc. il avait alors, décidé de donner des petits badges à chacun. Vert signifiait disponible, rouge, indisponible. De cette manière, il ne perdait pas de temps et dès qu’il arrivait, pouvait faire un choix rapide. Bien sur, une lope trop souvent indisponible était punies.


Il y avait des caméras partout, comme dans un loft, et il pouvait voir tout de chez lui, les lopes n’avaient pas le droit de sortir, sauf pour aller travailler. Pour s’en assurer il avait instauré une pointeuse.


Et puis il y avait le jardin, à l’abri de tous les regards, le nudisme était de rigueur quand il faisait beau.

Jeu 2 aoû 2012 Aucun commentaire