La différence est évidente. On sait maintenant que cette lope va bientôt s'agenouiller et servir ce mâle. Garre à son cul.
La beauté c'est eux !
La différence est évidente. On sait maintenant que cette lope va bientôt s'agenouiller et servir ce mâle. Garre à son cul.
Je vous met la première partie de mon histoire "La loi de la cité" en format PDF. Celle-ci contient les chapitres de 1 à 10 ( 8-9-10 étant inédits et ne seront pas publié ici). La deuxième partie suivra. Je préfère faire cela et faire des articles sur les Hommes arabes, plutôt que de "polluer" mon blog avec des articles seulement textuels sur mes histoires. Je les publierai donc uniquement en PDF à présent.
Demander donc la première partie avec 3 chapitres inédits que je vous enverrai :).
Ô divinités ! Ô peuple élu !
Tu es pour moi ce dont j'ai toujours rêvé.
Le sol n'est pas assez bas pour les vénérer.
Nos bouches sont là en signe de respect.
Nos culs également.
Aucune chose, aucun pays, rien n'a pareil beauté.
Rien n'est plus mâle, pas même le lion.
Comme le lion est le roi de la savane, ils sont les rois tout court.
Pourquoi chercher ce qui est si évident ?
Ne voyez-vous pas qu'ils sont partout ?
Parce que je me dévoue à eux.
Parce que tout simplement, rien ne leur est égale.
Un seul mot simplement : HOMMES.
Quelques minutes après son départ, je me rhabillais et me dirigeai vers la port d’entrée quand Nassim m’interpella.
Tu fais quoi là ? Je t’ai dit de partir ?
Je restai silencieux pour ne pas l’énerver. Je lui tendis à l’occasion la lettre de l’accord qu’il lut avec intention, il prit alors un crayon et signa.
Je t’enverrai un sms demain quand Moussa aura le contrat, tu rappliqueras, me lança-t-il.
Il m’ouvrit ensuite galamment la porte et me fit signe de partir après que nous ayons échangé nos numéros. Puis il décida de me raccompagner.
Sur la route de mon appartement qui se trouvait dans l’immeuble d’en face, il me parlait. Il me taquinait sur le fait que je pouvais être fier, qu’au moins je sers de vrais Hommes, pas des « bathil » comme il les appelle, c’est-à-dire en arabe les « faux », ou les « kha’ir » les faibles.
Arrivés à mon appartement, personne n’était encore arrivé. J’ouvris donc la porte et entra. Il me suivit et s’exclama « ça me rappelle une certaine époque ça », celle où il sortait avec ma sœur. Il se dirigea d’ailleurs vers sa chambre où il constata que rien n’avait changé. Puis, il entra dans ma chambre, je le suivis, et il ouvrit instinctivement sa braguette face à mon lit, il souleva la couette et urina sur mes draps.
Ah bah oui l’homme arabe c’est l’animal hein ! J’marque mon territoire c’est important, comme ça aucun autre, à part Moussa, peut venir, c’est la loi. Mais t’inquiète la pisse de rebeu c’est bon tu va kiffer, c’est pas comme si c’était celle d’un kha’ir, déclara-t-il en me regardant.
Chaque semaine quand tu change de draps, faut que je refasse ok !
Puis, une fois fini, il m’invita à me prosterner de la même manière que Moussa m’avait appris à chaque fois que son organe était sorti.
Vas-y c’est bon lève-toi, t’apprends vite j’aime bien !
Il continua sa ronde dans ma chambre en « s’appropriant » selon ses mots toutes sortes de choses. Le rituel était simple, un contact avec ses parties génitales ou son urine était signe d’appartenance, il imposait son droit de possession (qui apparaitra dans le contrat de Moussa). De mes vêtements à mes crayons, ma télé, tout y passait et je dois avouer que cela m’excitait grandement.
Il sorti de la chambre et se dirigea vers celle de mes parents. En ouvrant l’armoire, il saisit des calçons de mon père. « Le pauvre croit qu’il est un homme, je plain ta maman » et il se frotta contre celui-ci, laissant enfin dessus l’odeur et la virilité d’un vrai mâle.
Après cette ronde, il repartit après un gentil baiser sur le front et une claque au fesse. Il ajouta un dernier mot.
Au fait, je ne veux pas te voir dehors si je t’ai pas donné l’autorisation, ou Moussa, c’est claire ?
Je répondis par l’’affirmatif, et sans un mot ferma la porte des images pleins la tête et conscient de vivre une expérience énorme dont beaucoup rêverait.
J’étais à quatre pattes et derrière moi, celui que j’appelais désormais Le Puissant se soulageait dans des coups de reins intenses et longs. Chaque geste était contrôlés de sa part, ses mains forte tenaient mes hanches et les ramenaient à lui. Ses testicules claquaient contre mes fesses rebondies. Comme il l’avait si bien dit, mon anatomie fonctionnait parfaitement pour ça, et mon anus mouillait intensément. C’est tout mon corps qui vibrait, qui était secoué à chaque culbutage. Ces testicules étaient durs, fermes, et non mous et pendants comme chez d’autres, leurs claquements résonnaient dans la pièce et je les sentais me frapper fortement. Je ne pouvais retenir mes larmes d’être humilié ainsi. Mais j’étais si fier de moi d’être là où je devais être. Ce ramonage dura de longues minutes, mais quelles minutes ! Puis, le rythme s’accéléra, son souffle aussi, il me poussa alors en avant pour que je puisse être allongé et lui facilité une pénétration plus rapide. Sur moi j’avais tout son poids, il se tenait pas les bras comme pour faire des pompes et je sentais son souffle dans mon cou. Je me mis enfin à hurler sous un coup de rein fatal en sentant une véritable explosion liquide dont j’eu l’impression qu’elle traversât tout mon ventre. C’était incroyable, comme si son sperme entrait dans mes intestins J’admirais sa puissance et son silence. Bien sûr il eu un léger râle viril, mais léger, ce qui montrait qu’il n’était pas « faible », qu’il faisait son taf.
Vas-y remet toi par terre ! Lança-t-il.
Je me levai et pendant qu’il s’asseyait sur le rebord du lit, je me remis à genoux devant lui, mains au sol, tête baissée.
Puissant ! Je te suis reconnaissant de m’accepter et de me prendre à tes côtés. Dis-je en signe de vénération.
C’est bien ! Respecte-moi encore !
Alors, devant son traquenard encore dur et dégoulinant de sperme, j’entrepris une nouvelle pipe afin d’essuyer le tout, jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter.
Bien, Nassim sera ton maitre c’est décidé. Moi comme je t’ai dit ton boss, le chef de ton maitre. Tu nous dois le respect comme tu le sais. Prends le croyons et la feuille sur le bureau là, et écris ce que je te dis.
Puis il récita :
Je soussigné Matthieu Berthelin, être sous la responsabilité légitime de Nassim Ben Boudaoud lui-même sous l’autorité de Moussa Kazak et consentes à servir leur honneur ainsi qu’à satisfaire leur réclamations. Je reconnais par la présente lettre n’avoir aucun atout masculin et reconnais ma soumission et servitude au genre masculin africain. Par cette lettre et le contrat qui suivra, j’accepte de reconnaitre la réalité concernant la hiérarchie des genres et des races, à savoir, une prédominance de l’individu de sexe mâle africain sur les autres.
Tu signes, je signe, tu fais signer à Nassim et demain je ramène le contrat. Je me taille là j’ai foot. A plus !
A suivre !
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