Non catégorisé

Dimanche 27 mai 7 27 /05 /Mai 15:54

Une guerre survenue avec une cité adverse. Des mâles se battaient des lopes. Nassim s’était virilement battu contre un Homme me désirant, il avait reçu un coup de couteau dans le bras, j’étais bien sûr aux petits soins. Un soir Moussa décida de réunir les 2 cités, il fallait discuter.

Le problème était clair, la cité adverse manquait cruellement de lopes et les besoins naturels de mâles ne pouvaient pas être satisfaits. Un lope n’appartint qu’à un mâle, le partage n’était pas toléré. Une décision fut prise par Moussa et Younes le chef de la cité adverse. La cité de Younes sera annexée, toute conquête de nouvelles lopes par la cité de Moussa sera également partagée avec celle de Younes, une salope sur deux sera offerte à un mâle du clan de Younes. Mais Younes exigea également de pouvoir profiter du même statut que Moussa dans notre cité, Moussa fut d’accord à condition que la réciproque soit vrai, Moussa était donc lui aussi chef de l’autre cité.

Dans Paris la conquête était en cours. Nos mâles sortaient dans les quartiers gays comme au marais pour trouver de nouvelles lopes, mais certains mâles désiraient aussi séduire de jeunes femmes pour assurer leur descendance. Certains même parvenaient à convaincre des lesbiennes de la bonté du mâle africain et de son organe génitale. A Paris aussi à la nuit tombée il était devenu de plus en plus fréquent de voir de jeunes Hommes exhiber fièrement leur virilité circoncise. Certains hurlaient « à l’attaque », d’autres imposaient aux passants de les respecter. Tous avaient conscience que le monde devait être à leur pied. Un soir, alors qu’il m’avait emmené avec lui, Nassim m’avait demandé de montrer l’exemple. Je l’ai donc sucé devant une file d’attente pour rentrer en boite. Certains refusaient de voir car ils refusaient d’être mis en face de la vérité, d’autre au contraire me regardaient envieusement. Les videurs de boites étant tous noirs et arabes encourageaient leurs congénères. Ce soir là d’ailleurs, Moussa avait converti une lope en lui fourrant sa monstrueuse bite dans ces entrailles, le pauvre pleurait alors que sa copine réclamait elle le pénis de mon Homme. C’est avec fierté que Nassim me poussa et montra à tout le monde la place de chaque lope et fille.

La cité annexée vivait au même rythme que la nôtre. Ce qui était fascinant, c’était la facilité avec laquelle les cités se « généralisaient » en adoptant ce processus mis en place par Moussa le puissant. Nous étions tous mis en face de l’évidence de la domination naturelle de ces mâles.

Après quelques mois, Moussa et Younes étaient devenu de véritables Hommes d’affaires. Ils négociaient des trafics et avaient leurs business. Ils avaient tant d’influence que de plus en plus de chefs de cité de la France entière s’adressaient à eux pour des conseils. En peu de temps, ils avaient étendu à l’échelle d’un pays leur puissance et leur domination.

L’été venu, mon Homme Nassim et ses copains n’hésitaient plus lors de chaudes journées à sortir nu, leurs parties dominatrices à l’aire. Pour tout le monde, de partout, c’était devenu si « normal » que les mâles sentaient se besoin. Les jours passaient et ce qui pouvait être choquant avant était désormais le quotidien de chacun. Et pour notre plus grand plaisir, nous pouvions nous, lopes, admirer ces jours là la beauté de l’Homme, tel que Dieu l’a créé. Moussa avait par ailleurs fait ériger un phallus géant d’une dizaine de mètres au cœur de la cité, c’était désormais un lieu de culte pour nous. 

Par Love-arabic-guys
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Dimanche 27 mai 7 27 /05 /Mai 15:53

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Par Love-arabic-guys
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Jeudi 24 mai 4 24 /05 /Mai 21:30

Deux moi après mon mariage, j’avais reçu le devoir par Moussa de former d’autres future mariés et lopes. Lui n’avait plus trop le temps tout comme les autres. Il avait décrété un « généralisation ». C’est-à-dire qu’il avait décidé pour le bien être de sa communauté et par justice des « lois de la nature », que tout ceux qui sont disposés à devenir des lopes le deviennent. C’était en faite une gigantesque conquête au cœur de la cité, un « généralisation » du lopage pour tous ceux qui ne sont pas des Hommes selon sa définition. Il y avait par exemple au lycée, dans les vestiaires ou aux toilettes, des contrôles. Pénis circoncis ok ! Si bien membré, black ou métis mais non circoncis, il fallait passer au bistouri etc…

D’ailleurs, dans les toilettes on entendait désormais les gémissements/hurlements des lopes et les râles virils de mâles en action. Les fellations étaient pratiquées en publique pour mieux montrer la puissance. Nassim avait été nommé « premier ministre » par Moussa. Quand Moussa était indisponible, alors il pouvait prendre la décision à sa place par rapport à n’importe quel problème qu’il rencontrerait. Il était un mari parfait et me rendait heureux. J’avais l’autorisation de sortir seul mais toujours avec une sorte de biper qui faisait aussi localisateur. Il allait être papa car il avait fécondé une jeune fille devant mes yeux.

Dans la cité il y avait donc de nouveaux mâles fraichement formés et des lopes. Pour les autres, ça n’était qu’une question de temps. La généralisation se faisait également par le biais de « razzia » (signifie pillage, irruption, descente). Pendant celle-ci, au moins 2 mâles débarquaient chez une « lope ciblée » quand elle était seule chez elle, et lui imposait de devenir une lope. Ca ne faisait pas par la force, mais par le verbal parfois violent. En acceptant sa « conversion », la lope était conduite chez Moussa ou Nassim pour jugement et décision d’un maitre. Ce dernier appliquait ensuite le même rituel que Nassim avait utilisé avec moi, c’est-à-dire le marquage de territoire de tout objet avec son pénis et urine.

Ceux qu’ils appelaient les « lopes teigneuses », les têtues, étaient alors réunies et assistaient à des soirées « abattage » où de jeunes lopes étaient partouzées par des mâles. Ils assistaient également à des démonstrations de la supériorité des mâles africains.

Moussa prônait par cela une « pseudo-religion ». « Nous adorons Allah, vous nous adorez » avait-il dit. Il appelait ça le « Mâlisme » (l’adoration du mâle) ou bien le « Normalisme » tant pour lui cela semblait naturel et normal. Dans les toilettes du lycée, seul les mâles utilisaient les urinoirs (ou des bouches s’ils le voulaient), les lopes devaient bien entendu être en cabine et uriner assise tant leur sexe était jugé inutile. Dehors on voyait des regards se baisser à leur passage.

Nassim eu un fils quelques mois plus tard. Fier de sa progéniture maghrébine, il l’avait fait circoncire à 3 semaines (l’islam n’imposant pas d’âge). Il souhaitait le plus tôt possible pour qu’il grandisse avec cette fierté. Elle avait d’ailleurs eu lieu avec la présence de Moussa. Son nom était Sami, Nassim m’avait laissé le choisir. La mère ne souhaitant pas le garder, nous allions l’élever tout les deux. Heureux, Nassim planifiait déjà d’apprendre au plus tôt à son fils les valeurs d’un Homme et son droit au respect qu’il avait acquis par cette circoncision.

Les matchs de foot inter-cités étaient devenus des événements habituels. Le processus de généralisation avait été repris par les banlieues environnantes et bien d’autres en France. Les lopes étaient supporters et aux mi-temps  notre devoir était de masser, nos mâles, les sucer. Il n’était plus surprenant de voir, dans l’euphorie de la victoire, des mâles en érection imposer le respect aux lopes des camps adverses.

Les « pseudo- mâles » c'est-à-dire ceux qui sortaient avec des filles et qui se prônaient pour des mâles sans en avoir les caractéristiques et sans savoir qu’au fond d’eux se cachait un salope, étaient rapidement remis à leur place. Leurs copines était devant leurs yeux baisées et ils constataient en direct à quel point elles préféraient les mâles. Ils prenaient conscience alors de leur infériorité et incapacité à satisfaire. La plupart abdiquait face au conquérant et ils étaient à leur tour formatés au lopage. Les plus retissants subissaient alors l’usage de la force, c’était parfois même violent  mais ils comprennent vite que face à un mâle, on n’est rien.

En plusieurs mois la généralisation fut accomplie et nos mâles se promenaient fièrement dans les rues du quartier, imposant leur respect. Il ne fallut pas longtemps pour voir de nombreux ventres féminins s’arrondirent. Beaucoup de mâles voulaient au plus vite une descendance. Moussa avait d’ailleurs défini des règles, les nouveaux né mâles devaient être circoncis au plus vite, dès que selon le père il sera assez  mûr alors il recevra les enseignements qu’il doit connaitre. Il est important qu’ils grandissent dans un environnement où sa supériorité lui sera évidente, naturelle. La première fois de chacun devra s’effectuer sous le regard bienveillant du père, le formateur. Les nouveaux nés féminins devaient être éduqués par la mère et les valeurs devait lui être inculquées afin d’être opérationnelle quand un mâle décriera s’en affranchir.

Plus personne ne se cachait. Les mâles entraient dans les appartements familiaux et prenaient le père, la mère le fil … qui ils voulaient. Le soir, dans mon lit l’été, quand ma fenêtre était ouverte j’entendais de divers endroit des hurlements de lope. C’en était d’ailleurs valorisant pour nos Hommes. Il arrivait à Nassim d’être réveiller dans la nuit et réclamer l’accouplement. Je me vouais à mon devoir conjugal. Et si le voisin était réveillé par mes gémissements, alors il faisait de même. Au petit matin parfois on entend des mâles se vanter de leurs ébats nocturnes. Nassim parlait d’ailleurs de moi en bonne femelle dévouée.

Tout était désormais calme, l’ordre « naturel » semblait enfin rétabli. 

Par Love-arabic-guys
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 14:48

 

Un mois après le début de mon lopage, et alors que tout allait pour le mieux, Nassim m’annonça qu’il allait m’annoncer quelque chose d’important et lourde de conséquence. C’est donc le cœur battant que je me rendis chez lui. En ouvrant la porte il m’embrassa puis nous nous rendîmes dans le salon où je lui fit sa pipe quotidienne obligatoire. Une fois mon affaire faite, il me sourit et m’embrassa. Il me fit me lever et se leva aussi (un mâle devant toujours être « plus hauts » que sa lope, il ne peut pas être assis si celle-ci est debout). Il se mit alors à parler.


Mes parents ont décidé, vu que ma sœur s’est marié et n’habite plus son appart, de me le donner. Je vais donc avoir mon appart dans le bâtiment D (un immeuble à côté). Et vu que je te kiffe grave comme lope je me demandais si …


Est-ce que tu veux m’épouser ?


Je fus surpris de cette question. Je ne su que répondre mais ma bouche sortit immédiatement un « Oui ». Il m’embrassa alors puis m’indiqua de m’assoir pour m’expliquer.


Dans leur communauté un « mariage » d’une lope et d’un mâle était la plus haute étape. Ca n’est plus le simple contrat qui nous lie mais un véritable « contrat de mariage », autrement dit, c’est un engagement à vie. Dire oui signifiait ne plus connaitre aucun autre Homme que lui, sauf Moussa, et surtout, il engageait à une soumission générale. Alors que mon contrat m’imposait la « soumission sexuelle », le mariage engendrait une dévotion totale à son mâle, pas uniquement sexuelle. Il serait ma source financière, il me nourrirait, il déciderait en quelque sorte de ma vie. Bien que plus tard il aura certainement une femme et des enfants. Ce contrat perdurera à jamais, quitte à être en secret même si toutes femmes de ce genre de mâle est au courant et n’a pas son mot à dire.


Pour un Homme, le mariage était le prestige suprême, car ils devenaient maîtres à jamais. Ce type de contrat ne peut être demandé qu’une seule fois, et cela forçait le respect. Seul un contrat était présent, Moussa avec se « femelle » mais je ne l’avais jamais vu car il l’interdisait de sortir seul.


En répondant oui, j’offrais donc ce prestige à Nassim et moi je quitterais mes parents pour vivre une vie au service de cet Homme tant aimé.


Nassim m’emmena immédiatement voir Moussa pour déterminer une date. La cérémonie avait lieu avec la présence des autres et sous le commandement de Moussa. Arrivé chez Moussa, nous décidâmes d’un jour et d’une heure où cela aurait lieu. C’était donc fixé à la date du samedi suivant. Il aurait lieu en la présence des autres et sous la direction de moussa.


Le samedi arrivé, c’est avec excitation que je me levai et me préparai pour ce jour historique dans ma vie. Mes parents avaient bien entendu été mis au courant. J’avais donc mis mes plus beau vêtements et à 10h me dirigeai vers la cave à moussa. Là l’assemblée était déjà assise et Nassim arriva derrière moi. Il me prit la main et nous nous dirigeâmes tout deux dans la pièce. Moussa se tenait devant une table et nous nous assîmes devant. La cérémonie débuta. C’étais assez simple et claire, Moussa énumérait les règles et le fonctionnement du mariage, puis nous confirmions uns à uns notre union. Ce moment marquait un tournant dans ma vie, c’était la reconnaissance d’appartenir à un seul et unique Homme. L’ami bijoutier qui avait fait la gourmette avait aussi fait des alliances en argents pour nous. Nassim enfila la mienne puis je fis de même. Mais le rituel n’était pas réellement fini. Moussa me fit signer le contrat de mariage sur  lequel figurait les conditions et accords que je m’engageais à respecter, puis Nassim signa également. Ce dossier lui était alors confier et à conserver précieusement en cas de soucis. Il avait choisi comme témoin un de ses amis, Karim, le deuxième témoin étant obligatoirement Moussa. Karim détenait lui aussi un exemplaire du contrat. Par cela je devenais donc complètement dépendant de Nassim.


La cérémonie terminée, les gens partirent uns à uns. Il ne restait désormais plus que moi, Nassim, Karim et Moussa. On me demanda donc de me déshabillé pour poursuivre le protocole qui se faisait uniquement en la présence de mon mari et ses témoins car plus intime. Une fois nu, je dis m’allonger sur la table sur le ventre. Moussa palpa mes fesses puis y introduisit un doigt, je fus surpris mais ne dis rien. Il m’expliqua alors que c’était une étape essentielle pour voir mon degré « d’ouverture » et ainsi conclure le nombre de rapport sexuel minimum par jour que je devrai subir. Il en conclu que mon orifice était assez dilaté et apte à être pénétré au moins 2 fois par jours, il m’informa par ailleurs sur ma toilette intime. Une fois terminé, il inscrit donc ce nombre sur le contrat en précisant que tout refus lui sera signalé. De plus, le contrat stipulait que ce nombre pouvait être revu à la hausse si Nassim le désirait et après consultation par Moussa. Je dû par la suite m’agenouiller et Nassim sorti son pénis. Je pratiquai le fameux rituel de vénération ainsi que la prière et Moussa constata que mon comportement était plus que satisfaisant. Nassim mit son pénis en bouche et je voulu commencer une fellation quand il m’arrêta. Le protocole voulait que j’avale son urine par acceptation à me soumettre. Il urina donc chaudement dans ma bouche.


Le rôle des témoins était très important. Ils permettaient de valider l’union mais ils étaient aussi les seuls à pouvoir, sans l’autorisation de Nassim, exiger l’acte sexuel. Moussa jouissait tout naturellement de ce droit en temps que chef, en revanche se fut nouveau pour Karim qui ne se fit pas prier pour exiger une fellation de ma part que je m’empressai de faire. Je suçais donc pour la première fois cette nouvelle queue islamique qui était désormais autorisée à me baiser à volonté. Sa semence avalée, il s’en alla me laissant seul avec Nassim et Moussa. Ce dernier informa Nassim comme convenu que c’était le moment de l’ultime étape. Nassim s’en alla alors puis revint accompagné de mon père. Nassim me regardait fixement puis déclara :

Par cet acte tu m’offre aussi tous ceux qui ont ton sang.


Et sous mes yeux il sodomisa mon père par ses déhancher virils. Je voyais mon mari mettre à genoux ma famille, mais surtout pour la première fois, baiser quelqu’un d’autre. Je comprenais là tout le sens de la « conquête » que ces Hommes devaient effectuer et pris conscience des nombreuses infidélités légitimes et normales que je connaitrai. Je sentis un barre derrière moi et découvris que Moussa avait prit le temps de se déshabiller. Il réclamait le respecte. Dans cette pièce, un père se faisait dominé par la puissance arabe pendant qu’il fils jeune marié respectait à pleine bouche son témoin et maitre de la cité. Les deux Hommes lançaient par moment des insultes puis se regardaient :

Ah ces français !

 

Par Love-arabic-guys
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Vendredi 18 mai 5 18 /05 /Mai 18:57

Le dimanche, c’est la journée de l’Homme. Ça veut dire que le dimanche, plus que les autres jours, un lope doit être à la disposition de son Homme du matin 8h au soir 00h.  C’est un jour spécial car, une réunion est organisé entre les mâles et une autre entre les  lopes. Cette dernière est comme un grand rassemblement, une grande messe pour prier. Elle a lieu dans la cave à Moussa.

A 8h j’arrive chez Nassim qui me fait le respecter pendant que lui prend son petit déjeuner. Il m’indique ensuite d’aller réveiller son cousin par une petite pipe, ce que je fis avec plaisir vous vous en doutez. Abdel, le père de Mohammed se réveil et comme chez ces mâles, une bouche est une bouche, Nassim l’autorise à se faire sucer par moi, j’ai donc la queue de son géniteur dans ma bouche, et je comprends de quoi tient son fils.

A 11h, moi, Nassim et Mohammed nous dirigeons vers la cave à Moussa. Là, des sièges pour les mâles, les autres lopes sont par terre. Il y a devant moi une dizaine de lope, je ne connais personne, et autant de mâle. Moussa se lève, et je fais comme les autres, l’adoration en m’inclinant tête au sol. Une fois cela effectué, nous récitons un par un la prière de vénération de notre Homme respectif. Je fis la mienne. Après cela, Moussa se mis à parler :

Bien ! Comme toujours, je vous invite à faire prendre conscience à certaines personnes qu’elles sont des lopes. Parlez de nous en gloire et dites leur que nous changerons leur vie. Il y a encore de nombreux mâle qui n’ont pas moyen d’assouvir leur besoins, ça ne devrait pas exister. Rependez la « bonne nouvelle ». Dites à ces lopes le bonheur de servir un Homme. Je compte sur vous. Par ailleurs, j’ai mis un tableau ici pour vous rappelez une loi fondamentale qui a causé problème cette semaine. Art -5 du code A : Chaque mâle est en droit d’exiger l’acte sexuel dans quelque lieu que ce soit. Jeudi, une lope a refusé de pratiquer une simple fellation pourtant la base, et glorifiante, dans les toilettes du lycée. Je tairai son nom, mais une sanction a été décidée. Le non-respect de son mâle, puisqu’ici c’est clairement un refus de respecter car la fellation entraine le respect, entraine la sanction suivante : une formation d’une semaine par moi-même et son maitre au devoir de la lope et au « code ». Tout prochain manquement entrainera l’exclusion et l’interruption du contrat sans aucune chance de renouvellement.

De plus, je rappelle que pour tous, aura lieu cette après-midi à 16h ici même, une formation sur la sexualité des lopes par moi-même.

 

Un des mâles, un Homme de type maghrébin se leva et ajouta.

Concernant les autres petits manquements au code, avec les gars on a décidé que si la faute engendrait la remise en question de la virilité de votre Homme, la punition sera soit une formation comme dans le cas présent, soit une exclusion temporaire ou définitive, soit une mise a disposition durant une période plus ou moins longue à l’ensemble des mâles  ici présents.


La séance se termina par de nombreuses prières à la gloirede nos mâles, puis chacun reparti chez son Homme. Chez Nassim, c’est parent étant partis, je fus mis à la disposition de son cousin qui fut dépucelé en m’enculant fortement. Même si c’était sa première fois, on voit l’instinct du mâle, c’est instinctif, presqu’un réflexe, il bouge ses reins comme j’ouvre la bouche par réflexe, chacun son rôle, chacun sa gloire.


Seize heure arrive, Nassim m’accompagne à la cave à Moussa et repart puisque seul lui donne cette formation. Nous voilà alors, tous les lopes face au Mâle des mâles. Il commence :


Bon, vous êtes là pour cette formation obligatoire que j’ai décidée de faire suite à ce qui s’est passé cette semaine. Elle a pour but de bien vous former à votre sexualité, sa pratique et sa mise au service de votre Homme. Ca durera une bonne heure voir plus, on parlera de votre anatomie, le l’anatomie masculine et enfin des bases du service sexuel.

Souvenez vous premièrement que Seul le plaisir de votre homme compte. Une fois compris ça, analysons votre anatomie et en quoi elle est utile à notre plaisir.


A poil ! Nous nous déshabillâmes. Tout d’abord prenez ces miroirs et contempler votre bouche, vos lèvres pulpeuse. Nos gland circoncis on besoin de douceur, d’humidité aussi. Votre gorge et vos capacités à avaler nous permette de nous enfoncer jusqu’au bout. Vos yeux vous donnent un regard de lope qui excite n’importe quel mâle, votre odora vous fait aimer nos odeurs, à nos nez répugnantes, mais pas pour vous. Vos cheveux soyeux nous permet de caresser avec nos mains comme un chien, de plus, ils sont plus faciles à nettoyer si du sperme s’y mêle que nos cheveux frisés. Vos muscles sont faibles pour vous rendre plus vulnérables et donc dans la nécessité d’avoir un Homme. De, cela renforce notre situation de puissance. Vos jambes assez souples facilites nos assauts souvent violents. Et votre cul, rebondis pour nous attirer, nous faciliter nos assauts, et vos trous qui s’adapte très bien. Enfin, votre petite queue, pour rendre légitime notre puissance, pour créer un fossé et pour bien entendu, ne donner plaisir à personne avec et donc mettre en évidence nos organes, seuls sources de plaisir.

 

Après avoir fini son monologue, il monta sur la table et se déshabilla tout naturellement. Son pénis au repos était toujours impressionnant et dans toute l’assemblée l’admiration était totale. Je remarquai aussi que la plupart était très excité à la vue de cette organe de plaisir, Moussa dégageait une odeur virile euphorisante, telles des phéromones.  Il poursuivit :


Concernant notre anatomie maintenant. Mise à part qu’on a tous de belles gueules, ironisa-t-il, on a un regard fort, noir, pour être plus autoritaire et forcer à nous respecter, notre voix également. Ces muscles au niveau des bras, ce sont les biceps. Ils sont développés et nous permettent d’avoir de la force de les bras de manière à pouvoir vous porter mais aussi à se battre, où à vous maîtriser en cas de problème, à vous mettre en position de faiblesse. Au niveau des cuisses on a les mêmes, qui permettent l’impulsion. Les muscles des fesses sont cruciaux, ils permettent de puissantes chevauchées …


Et il continua pendant de longues minutes, montrant chaque détail de son corps. Puis vint la dernière partie, les bases du service sexuel. Il nous expliqua alors les bases de nos devoirs. La pratique minimum d’une fellation par jour qui, pour reprendre ses termes, contribuait à « l’entretient » de l’organe. A la suite d’une description précise sur cet organe, il nous enseigna sur les zones sensibles et les pratique à adopter. Il nous apprit qu’il fallait faire travailler notre mémoire olfactive en mémorisant « l’empreinte » de notre Homme, c'est-à-dire, l’odeur de son urine que par exemple Nassim avait laissé dans mon lit. Cette mémorisation était selon Moussa indispensable au respect de son Homme car cela signifiait le connaitre au plus profond de lui, de ses entrailles. Il nous informa ensuite de la préciosité de la semence de notre mâle et du manque de respect pour celui-ci que représenterait une perte de se liquide. Il était donc essentiel de le recevoir ou en bouche, ou dans le cul. Notre devoir sexuel était bien entendu de bien se raser, d’être propre et surtout prêt à n’importe quel moment à sa disposition, car quand il a des besoins, il faut les satisfaire peu importe le moment. Il nous enseigna à uriner assis pour renforcer notre féminité, à éviter de nous doigter et goder pour garder un anus serré quand l’Homme voulait s’en servir.


Une fois qu’il eu tout fini, il ouvrit la porte et nos Hommes qui nous attendaient entrèrent. Moussa nous invita alors, par respect, à prier respectivement chacun devant son Homme et ensuite de la pratiquer une fellation. Ils étaient tous alignés, leur queue en bouche, et se parlaient, lançaient des vannes, taquinaient. Nous les lopes, étions à genoux devant eux. Nassim venait sans doute d’uriner puisque je sentais encore son odeur délicieuse sur son gland. Moussa passait à côté pour vérifier si chacune des lopes si prenait bien. Chacun éjacula à divers intervalles et Nassim, fort de son endurance, fut l’un des derniers. Leur sperme avalé, ils rangèrent leur matos et Moussa reprit la parole.


Ce soir c’est soirée foot, donc avec une bière et une pipe vous rendrez votre homme heureux.


Et tout les « couples » repartirent.

Par Love-arabic-guys
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