Je m'appelle Matthieu, j'ai 18 ans et j'habite en seine-st-denis, le 9-3 comme on dit. Ici, m'a vie est plutôt pas mal, mis à part que je suis gay et sois etouré chaque jour de magnifiques créatures blacks ou arabes, je me porte plutôt bien. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai décidé, il y a quelques temps, de m'inscrire sur un site de rencontre gay pour maghrébins et blacks. Etant entouré d'eux à l'école, je sais mieux que quiconque ce que cachent ces bad boys dans leur survêtement. Les nombreuses bosses que je matais dans les vestiaires au lycée m'ont convaincu, en comparaison des bosses françaises, que c'est là que se trouvait le saint graal. C'est ça qui pouvait déclancher l'orgasme suprême dont parlaient toutes les filles. 

Moussa faisait parti d'un bande qui dealait de la drogue, j'ai toujours trouvé cela mal mais son côté bad boy m'a toujours charmé. Il était grand, baraqué, noir d'origine congolaise, beau goss. Caïd et ventard de ses explois sexuels avec ses nombreuses conquêtes féminines, il n'hésitait pas à prendre sa douche nu, exposant sa virilité devant tout le monde. Parfois, il se moquait gentillement du petit sexe d'un européen qui passait devant lui, lui demandant s'il avait fini ça croissance ou s'il comptait trouver une femme avec ça, une "femmelle" comme il disait. Il lançait des petits piques tel que "Ramène ta meuf que je lui montre ce qu'est un Homme !". Il était macho, mysogyne, fier, il avait tout les atouts. Dans la classe il était roi, et rares étaient les filles qui ne s'étaient pas offertes à lui. Les mecs, eux, le jalousaient et lui demandaient des conseils, pour tous, il était un modèle de réussite, un Homme, comme seule l'afrique en fait.

Mes allures efféminées m'avaient values beaucoup de moqueries, mais en même temps le regard que me portaient les mecs de cité à mon passage étaient envieux. Ici, même si les gays étaient beaucoup critiqués, ils représentaient pour beaucoup de jeunes de cités deux choses :

- La possibilté de se "vider" sans avoir de copine, car ici, les filles ne se laissent pas toucher facilement.

-  Une sorte de victoire, pour beaucoup, sauter un gay, c'est comme dire " t'es gay ? bah  tien prends ça", ça représente comme une puissance, ils se disent qu'ils ont le monde à leur pied. 

Mais dans les deux cas, c'était en secret, aucun, ni même moussa, n'avouait devant les autres, qu'un cul gay représntait un "nouveau territoire conquit"

Il faut comprendre que la loi de la cité, c'est plus un Hommes a sauter, plus c'est un Homme, un "bonhomme" comme ils disent.

Ma soeur Alice, était sorti avec un des meilleur pote à Moussa, Nassim, et les grincement de lit qe j'avais entendu à de nombresues reprises, ainsi que les paquets de capotes vides grande taille que j'avais trouver, en disaient long sur les performances sexuelles de ce dernier. J'avais par ailleurs eu la chance de le voir en boxer, quand il allait au toilettes ou autre, et constaté qu'il n'avait rien à envier à son pote Moussa. Leur histoire c'était terminé car ma soeur avait été deçu de sa nature conquérante, naturelle chez tout mâle arabe, elle ne savait pas ce quel perdait. Nassim s'était affiché dès le lendemain au bras d'une nouvelle conquise chanceuse. Mais pour combien de temps ? Pour luin une fille, c'était un endroit agréable ou rentrer, un moyen d'assurer sa déscendance, rien de plus.