Voyage aux milles et une nuits

Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 17:46

Midi venait de sonner et le couscous que Ghassene m'avait appris à préparer était prét. Ce dernier était parti faire quelques courses. Tout à coup, on sonna à la porte, je me dis que c'était certainement son frère, Younès, mais non, il s'agissait seulement du facteur. Je lui ouvre donc et il me donna le courrier avec un grand sourire, charmant, mais je n'étais plus étonné à présent, de la beauté maghrébine et de leur sens aigu de la séduction. Il me questionne sur ce que je fais ici, et me balance une question que je ne comprends pas sur le coup, si j'ai mangé hallal. Puis il s'en va en me saluant gentillement d'un "A la prochaine j'éspère !". 

C'est à ce moment là qu'une voiture ce garre, le facteur dit bonjour au conducteur et ils se parlent deux-trois mots en arabe. Puis, celui-ci se dirige vers la porte d'entrée, je comprends donc qu'il s'agit du frère, Younès. C'est une très beau garçon, 25 ans, grand, habillé jeune, souriant, cheveux rasés sur les côtés, coupe à la rebeu quoi. Il s'assure de mon identité et entre dans la maison. Il me questionne alors sur ma vie, d'où je viens, comment se passe mes vacances, ce que je fais comme études. En entrant dans la cuisine, il découvre le plat de couscous en s'en léchant les babines.

 

- Un vraie petite ménagère, me dit-il en rigolant.

  Puis, il poursuit :

- Mon père aura du retard, il fini un travail. Ghassene a certainement dû rencontrer une connaissance, je vais commencer à manger, j'ai pas trop le temps.

 

Ainsi, il se servit dans le plat et remplit son assiette, hésitant, je regarde, puis décide de prendre mon assiette pour me servir.

 

- Attend plutôt les gars pour manger, mais si ta faim, Ghassene m'a dit que t'étais très gourmand.

 

Je rougis alors, de peur de passer pour la salope de service. Mais il inciste gentillement.

 

-Y'a pas de mal tu sais, heureusement que y'en a des comme toi. Passe sous la table, t'as kiffé le frangin et le daron, t'inquiète que la mienne c'est la meilleure de la mifa.

 

Je me dirige alors sous la table, pour pratiquer la troisième fellation de ma vie sur la troisième bite de ma vie, en 2 jours. Je me retrouve face à un homme assis sur une chaise, qui sort gracieusement son pénis pour combler ma faim, telle une offrande. La veille j'avais découvert le sexe maghrébin par Ghassene, le matin, j'avais confirmé mon adoration pour cet organe sur son père, et maintenant, devant moi, Younès confirmait ses dires. "La meilleure de la famille" s'était-il exclamé, en tout cas, certainement la plus conséquente. Je n'eu aucun mal à l'enfiler dans ma bouche pour combler ma faim et son désir d'être sucé. Je l'entend lancer des "hum" d'exaltation à la fois pour le bonheur qu'il éprouvait par ma fellation et par le couscous qu'il mangeait.

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- 'Tain t'es bonne toi ! En cuisine et en pipe, tu m'étonne qu'ils veulent te garder.

 

Je suis surpris par ces paroles, il m'indique qu'on en reparlera plus tard, pour l''instant j'ai autre chose à faire. Je suce donc, longuement cette homme décidément plus qu'endurant, pour mon plus grand, plaisir, quand j'entend une porte s'ouvrir.

 

- Bah il est où ? s'interroge Ghassene

- Là où il doit être ! répond Younès.

 

Ghassene se baisse sous la table et constate maa totale soumission à son frère, il s'adresse à ce dernier en arabe sur un ton plus grave, je resens de la jalousie, et ce n'est pas pour me déplaire.

 

- Vas-y avale, s'exclame Younès

 

Alors, je bois ce précieux nectar, par de longs jets, puis, l'éjaculation terminé, il se rhabit et s'en va, après m'avoir adresser un petit sourire de remerciement. Quant à son frère, il ne le regarde pas. C'est alors qu'une fois la porte fermée, je me retrouve face au visage noir de Ghassene, je ne comprend pas ce qui se passe. J'ose à peine le regarder la bouche encore dégoulinante du lait sacré de son frère. Puis, enfin il me resourit.

 

- Je sais tout, mais j'aime pas trop te voir avec d'autre homme même si c'est la famille, on en reparlera quand le daron arrivera, c'est lui le chef de famille.


 


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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 22:29

Après une bonne nuit de sommeil, je me suis réveillé près de Ghassene, encore endormi. Il ne s'est pas rhabillé de la veille, et son pénis est à l'aire libre, au repos. Il semble si inoffensif quand on le voit ainsi, mais toujours aussi appétissant, surtout quand on connait ses capacités. Dans la pièce, le premiers rayons de soleil éclairent à travers les rideaux et l'odeur est très masculine, un mélange de transpiration, de sperm, qui résultent de notre parade nuptiale.

J'hésite, puis je me lève sans le réveiller. Arrivé dans la cuisine, son père prend le petit déjeuner. Je lui dit bonjour, il répond et boit une gorger de son café. Il m'indique que je peux me servir, je me verse alors une tasse de café au lait.

 

- Il n'est pas réveillé ? m'interrogea-t-il.

 

- Non, répondis-je.

 

- Tu l'a fatigué aussi, me lança-t-il.

 

Ces quelque mots me choquèrent, je croyait qu'ils étaient absents,  Ghassene m'avait indiqué que je pouvais faire autant de bruit que je veux. Abdel me fixait. Je repris :

 

- Vous ...

 

- Oui oui j'ai entendu, et vu ce que j'ai entendu, je suis fier de mon fils, c'est un Homme hien ?

 

-Oh ça oui, mais ça ne vous gène pas ? 

 

- Non, ici c'est comme ça, un Homme est un Homme, j'ai transmi ces valeurs à mes deux fils. C'est l'honneur de la famille.

 

- Alors vous pouvez être fier, dis-je.

 

Il fini sa tasse et la déposa dans l'évier.

 

- Quand tu aura fini tu netoyera s'il te plait, ma femme est parti quelques jours chez sa soeur. 

 

Puis il se renda dans la salon d'un air macho. J'aimais cette situation, et aussitôt après avoir fini, je m'exécutai. Je me rendis ensuite dans le salon et pris la direction de la chambre quand il m'interpela.

 

- Non reste, on ne dérange pas un Homme qui dort, il serait de mauvaise humeur, et c'est pas beau à voir. 

Je m'installai alors dans le canapé, devant la télévision en arabe que je ne comprenais pas.

 

-Tu t'ennuie hein ! constata-t-il. Tu sais que chez nous, l'Homme est le chef de famille, alors comme ma femme est pas là, et qu'en tant que père, j'ai le droit de tester ce qui est à mon fils, je vais me premettre de te demander de me sucer, ça fait toujours du bien le matin, avant d'aller au boulo.

 

Alors, sans me faire prier, je me levai du canapé et me mis à genoux, devant Abdel Ben Boudahoud, le père de l'Homme qui m'avait dépucelé, le chef de la maison. J'ouvris alors ça braquette et descendis son pantalon et son calçon. Je découvris alors un pénis encore mou mais de bonne taille,et qui dégageait une délicieuse odeur masculine. Il me fit comprendre que les restes de sperme datais de la veille, alors que ça femme était en période de manstruation, il s'était fait sucer et avait éjaculé sur lui.

A peine ma mains dessus elle prit de volume. Abdel faisait mine de rien, il regardait la télévision, zappait. Moi, une fois de plus, je m'étonnais de ce qu'un Homme tunisien pouvait cacher dans son pantalon. Elle pointait désormais le plafond, quelle était belle, "c'est bien le père de son fils !" pensais-je. Alors, comme la veille, mon instinc me guida et ma bouche entra en contact avec sa verge. Je levai les yeux vers lui, et commençai un longue fellation. Mes vas-et-viens étaient tantôt doux, tantôt rapides, il me regardait dans les yeux, et parfois, penchait la tête en arrière comme le font tous les Hommes à qui l'on fait plaisir. Il me demanda de lécher ses testicules, c'est ainsi que je découvris deux bonnes boules, pendantes vers le sol, et qui semblaient si pleines. Je repris ensuite l'engin en bouche pour continuer ce que j'avais commencer, il se mit alors debout et me demanda d'ouvrir la bouche. C'est alors qu'il pris son engin en mains, et, de la même manière qu'il me disait avoir fait avec sa femme la veille, il éjacula toute sa semence dans ma bouche, sur son visage, et un peu sur lui. C'était la première fois que je goûtais un autre sperme que le mien, et mon dieu que j'aimais ça. Il me fit alors nettoyer son organe et le rangea. D'un sourire il me dit d'aller prendre une douche, il pris c'est clef et lança :

 

- Je pars au boulo, Ghassene te dira pour ce midi, mais je rentre à 12h, Younès sera là aussi.

Par Love-arabic-guys - Publié dans : Voyage aux milles et une nuits
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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 19:40

Devant mon regard exhorbité, il me demande pourquoi être si surpris. Je lui répond que jamais je n'ai vu un si gros et si beau pénis. Alors il sourit de nouveau en s'exclamant :

 

- Le maghreb tout simplement ! Vas-y montre-moi ce que cette belle bouche sait faire.

 

C'est alors que je dû lui avouer que j'étais encore vierge, que jamais je n'avais gouté un Homme, et que jamais un Homme ne m'avais touché. Cette information le réjouit, il me lança alors :

 

- De toute manière, même si un français t'avais touché, on aura pas vraiment pu dire que tu a connu un vrai Homme. Et puis quelque part je suis content que tu n'est pas été "sali".

 

Je le regarde, timide mais envieux.

 

- Vas-y goûte, tu vas kiffer, vous aimez tous ça.

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Et c'est ainsi que pour la première fois de ma vie, j'allais me soumettre aux déisirs d'un Homme, que j'allais déguster le plus délicieux des mets. Mes lèvres entrèrent alors en contact avec le gland volumineux de Ghassene, puis ma langue en fit le contour. C'etait incroyable, comme si c'était instinctif. Comme un chien qui, n'étant jamais tombé à l'eau a l'instinct, le réflexe de nager, j'eu aussi le reflexe de sucion, comme si j'avais toujours su faire ça. Je compris pour quoi j'étais fait. Son goût était délicieux, jamais je n'avais autant aimé quelque chose. Et lui, me caressait la tête, m'encourageait, puis me fit signe d'arrêter. Il me demanda de m'allonger sur le dos, les jambes écartées, en missionaire.

 

- Je te préviens, tu vas la sentir passé, mais au moins ...

 

- Au moins quoi ? Je l'interrogeai.

 

- Au moins tu va devenir une femme, un lope, et tu vas kiffer, prendre cher comme on dit.

 

Puis, après avoir lubrifié sa verge, il la plaça à l'entrée de ma rondelle serrée, vierge de toute pénétration. Il s'allonge sur moi, prêt à s'élancer. Il m'embrasse, première pénétration, sa langue prend possession de ma bouche. Il me regarde.

 

- Prêt ? Je vais tâcher d'être "doux" mais tu sais, je suis un méditerranéen.

 

Puis, après une signe d'acquiescement de ma tête, il replaça son gland en face de mon trou, et pris appuis sur ses mains. Ca y est, un léger coup de rein, et sa virilité pénètre mon intimité, il me sourit, je lui souris malgré ma douleur, il me dit de ne pas m'inquièter, que je peux faire tout le bruit que je veux. Mais je n'ai que son gland, c'est alors que centimètre par centimètre, il avance, prend possession de ce qu'il appelle : son  refuge, son garage. Une fois la totalité de la verge dans moi, je sens ses lourdes testicules frôter mes fesses, il s'étale sur moi et m'embrasse. Son regard veut tout dire : maintenant ça commence. Et ses vas-et-viens sont de plus en plus violents, le lit balance, il transpire, je hurle. Parfois, il balance des mots en arabe, je ne comprend pas, il est musclé, je me sens si petit dans ses bras, mais si bien. Il prend son pied, moi aussi, la douleur à fait place au plaisir. Je suis aux anges. Il m'embrasse, me demande certaines fois si j'aime, je lui supplie de continuer, il ricanne, il est essouflé, mais très endurant. 


Puis, c'est le moment de l'accélération finale, dans un dernier élan, il accélère son rythme, afin de lâcher son sperme reproducteur. Il me regarde, silencieux, j'admire cette attitude si masculine qui veut que les Hommes restent silencieux. Mon trou est totalement dilaté, il y va désormais très fortement, mes jambes tremblent, je hurle, les testicules claquent, et finalement, dans un coup de rein dévastateur, je sens mes jambes qui se relâchent et une sensation envahie mon corps, m'offrant totalement à cet Homme : l'orgasme. Dans un râle viril, il éjacule dans mes entrailles. Je sens de puissants gets dans mon interieur. Il m'embrasse le cou, son gland est dure dans moi, je ne veux pas qu'il s'en aille. Il me dit ironiquement :

 

- Tu vois, c'est comme ça qu'on fait les bébés.

 

Je souris et lui répond.

 

- Waw c'est incroyable, c'était si bon, tu es si puissant, une vrai bête.

 

Et là, de toute sa fierté d'être flâter ainsi, il me répond :

 

- Juste un HOMME. 

Par Love-arabic-guys - Publié dans : Voyage aux milles et une nuits
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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 18:40

Ceci est un récit que je compose moi même, tiré de mon imagination.

 

Il fait chaud ce jour là, le soleil tunisien tape fort sur la plage où je me trouve. Il est 16h et je suis réveillé par l'appel à la prière. Autour de moi des jeunes s'amusent, ils jouent aux beach volley et leurs corps bronzés en exercice leur donnent un côté érotique. Je me lève et décide de me rendre dans la souk situé près  de la plage. Je m'aventure alors dans les ruelles bondées de touristes, mais aussi de locaux et de commerçants. Ils me parlent, m'attirent et essayent de me vendre divers objet. Je sens aussi certains regards sur moi, est-ce ma légère féminité qui les attire ? Est-ce cette fameuse "frustration" des hommes arabes qu'on entend souvent ? 


Un jeune homme un peu plus vieux que moi, la vingtaine, s'avance vers moi d'un pas décidé. 


- Hey toi t'es charmant, tu viens d'où ?


- De Nantes ! Tu es d'ici ?


- Bien sûr, ch'ui d'ici, s'tu veux j'pourrai te faire visiter la ville, la vie tunisienne ich'allah. Viens j't'invite au thé, sois li bienv'nu, chi moi ci chi toi !


J'aime son accent maghrébin et j'accepte de le suivre. Il a tout pour plaire, d'abord il est grand, environ 1m80 et plutôt musclé. Ensuite, il a un beau visage typiquement tunisien, bronzé, un peu mal rasé, il est viril et semble entreprenant. Sa démarche donne l'image d'un homme sûr de lui, il file d'abord devant moi et puis fini par m'attendre pour marcher ensemble. Sur le chemin, il me prale de sa famille, sa mère Aïcha, son père Abdel et son frère Younès, lui s'appelle Ghassene et a 23 ans, il est le dernier. En marchant, il me montre aussi les différents lieux de la ville. La mosquée, la grande place, des cafés, restaurants.


Nous arrivons chez lui, c'est un maison modeste dans la banlieu de Monastir. Il me présente à sa famille et leur informant qu'il m'invitait au thé, puis, il s'exprime en arabe à son père et son frère après que sa mère soit partie faire le thé. 


Le thé prêt, nous le buvons assez vite fait et il me demande où se trouve mon hotel. Nous discutons de cela et de divers sujet avec sa famille, jusqu'à ce qu'il me propose de dormir chez lui. Je refuse par politesse, mais son hospitalité tunisienne le fait incister. Je cède finalement sous les beaux yeux de ce jeune homme.


Quelques heures plus tard, c'est l'heure du couché. Ghassene sort son tapis et effectue sa prière. Puis il se glisse dans le lit à mes côtés, la famille n'ayant plus de matelas. Il éteind la lumière et me regarde. Il me parle un peu de la france puis me dit :


- Tu sais, ici y a un truc très important pour qu'un Homme tunisien s'endorme bien.


Je lui demande alors quoi et il me répond


- Bah tu sais, je sais pas en france, mais ici on aime bien utiliser nos queues, vas-y suce tu va voir de quoi la tunisie est faite.


A ces mots, il baisa son calçon et je n'en croyait pas mes yeux. Devant moi, ce dressait ce que jamais je n'aurais cru voir dans la vie. C'est comme si tout le maghreb était réuni en un seul organe. Elle s'élevait comme une forteresse au dessus de son ventre. Circoncise, dure, 23 centimètres de plaisir. J'étais dans un rêve, je ne voulais pas y croire, mais ce dont je rêvais, ce dont j'avais entendu tant parlé, cette légende sur les peuples arabes et africains devenait réalité. Devant moi ce dressait l'Homme à l'état brute, dans son plus simple appareil. La beauté à l'état pure, la définition d'un Homme. A ce moment c'est comme si plus rien n'exite au monde, la découverte d'une bite arabe provoque un état second, une ephorie, un brusque retour à la réalité : voilà ce qu'est un Homme. Je suis ébahi, je ne sais que faire fasse à ça, il sourit.


- Ah les français, toujours impressionnés, ricanne-t-il.

 

A suivre

Par Love-arabic-guys - Publié dans : Voyage aux milles et une nuits
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