Au petit matin, réveil gourmand avec mes trois Hommes à sucer. Puis, dans la matinée, je fait remarquer à Ghassene que aujourd'hui est le jour de mon départ, il me dit alors de réservé dès lors mon été prochain de manière à revenir ici pour 2 mois. Il m'emenna alors alors une dernière fois en centre ville, après avoir été chercher mes valises à mon hôtel. A une terrase se trouvait tranquilement en train de boire un café, Sami, mon camarade de classe.Ils s'étaient donné rendez-vous avec Ghassene. On s'est donc assis et avons discuté un long moment de choses et d'autres. Vint alors le moment où Ghassene entama un sujet plus sérieux. S'adressant à Sami :

- Bon, Il part demain lui aussi, alors vu que je le reverrai pas avant longtemps, je pensais que tu pourrais être ùon représentant en France, son Homme.

Sami n'hésita pas un seconde et arbora un grand sourire. Mais il ne fallait pas tarder, il nous fallait nous rendre à l'aéroport. Une fois arriver, Ghassene m'embrassa une dernière fois et me promis de venir me voir en France, et que Sami s'occuperait bien de moi. Il s'en alla et Sami me fit signe de le suivre dans les toilettes. En entrant dans celles-ci, il me demanda de le sucer, sa première pipe de sa vie. Sa queue était très belle, et je comprenais désormais cette grosse bosse que j'appercevais dans les vestiaires et qui me donnait tant envie. Comme toutes les bites maghrébines que j'avais sucer ces derniers jours, elle avait la taille pour intimider de nombreuse lope comme moi. Dans ma bouche, l'Homme se sentait bien, il gémisait virilement en signe de plaisir, et j'entendais un autre Homme faire de même dans une cabine plus loin. Je ne mis pas longtemps à récolter son elixir, et avala tout d'un coup. D'une petite frappe au cul il me remercia et me fit presser le pas pour prendre l'avion dont on avait attendu l'appel.

Nous reprimes donc, la direction de la France, pour de nouvelles aventures, avec à mes côtés, un Homme, un vrai.

FIN (une suite est possible plus tard)

Sami était dans ma classe au collège et était d'origine tunisienne. Il était à l'origine de mon grand fantasme sur les arabes, et je savais qu'il avait de la famille ici, c'est pourquoi ce pays me fascinait tant. Nous n'eument pas le temps de discuter puisque Ghassene arriva. Je pris alors l'initiative de lui présenter sami, qu'il salua et à qui il parla pendant quelques minutes. Puis, Ghassene et moi nous en allâmes. Sur le chemin, il me rassura sur le fait que les billets échangés avant mon raport avec Karim étaient pour régler un affaire, rien à voir avec moi. Il me parla aussi de mon ancien camarade, sami, avec qui il avait discuté, et m'annonça avec surprise que le malheureux était toujours puceau. J'aurais donc l'honneur de faire de lui un Homme. Nous rentrâmes à la maison, et sur le chemin Ghassene me demanda comment ça c'était passé avec Karim. Je lui dis la vérité, c'est-à-dire que son surnom, il le portait bien. Il sourit, puis continua à marcher. 

Arrivé à la maison, Younès est rentré du travail. Les deux frêres se parlent, puis se serrent la mains en signe de réconciliation. Younès m'adresse la parole :

- Alors il était en forme Karim aujourd'hui ?

- Plutôt oui ! répondis-je.

Abdel rentra à son tour, d'un geste naturel, il se dirigea vers moi pour m'embrasser, comme il faisait avec sa femme. Younès, jaloue se leva, "Ah oui, j'avais oublié" et il fit de même. Abdel m'emmena dans la cuisine pour m'indiquer le diner à préparer. Quelques heures plus tard, le diner se déroula bien dans une atmosphère détendue, j'étais bien, entouré de mes 3 Hommes. Puis vint le momemnt du coucher. Abdel me rappela ce qu'il m'avait apprit le midi, un fellation la matin, une le soir. Il mm'indiqua alors, qu'en tant que chef de famille, il serait le premier, puis qu'étant donné que Ghassene était mon "référant" et que je dormais avec lui, il serait les dernier. Younès serait alors le deuxième.

Je me dirigeai alors dans la chambre d'Abdel que je découvris pour la première fois. Il se déshabilla tranquillement et naturellement il s'allongea sur le lit sans dire un mots. J'avais compris mon rôle. Je me mis donc directement entre ses jambes et contempla se pénis que j'avais sucer au petit  matin. Là, il étais prêt à s'endormir après une dernière action. Je le pris donc au repos dans la bouche et commença à titiller la gland. Il m'encourageait avec ses paroles et ses mains. Dans ma bouche, s'élevant petit à petit, la chef de famille me faisais sentir si petit. Puis d'un coup, il me fit arrêter et décida de découvrir ce que ça faisait d'enculer un mec, il ne l'avait jamais fait. C'est alors avec plaisir que je me mis en position de levrette dans une totale servitude. Et sans me prévenir, l'Homme pris possession des lieux. Rapidement, je sentis des jets m'innonder, ce fut berf mais intense, mais deux autres Hommes attendaient leur tour. Il me fis comprendre que maintenant il souhaitait dormir. Sans un remerciemnt, il cria :

-Younès, à toi !

Ce dernier entra dans la chambre de son géniteur déjà nu, l'organe en position d'accouplement.

-Vas-y bébé viens j'en peux plus !

Lui était déjà plus doux et me dirigea vers sa chambre, sa garçonnière comme il disait. Il ferma la porte puis, impatient, me demanda de "faire mon taf". Il m'informa que ce midi, il avait adoré, malgré le différent avec son frère, et qu'il avait attendu avec impatience ce soir. Mais moi, j'avais déjà sa bite en bouche. Comme ce midi il m'avait indiqué, c'est la meilleure de la famille. Les testicules sont grosses, remontées car exitées. Puis, comme son père, il m'indiqua son désir de me sodomiser, même si lui était un habitué. Il me mit donc en levrette et pointa son gland sur les lèvres de mon anus dilatées et encore dégoulinantes de la semence de son père. 

- Ca lubrifira,expliqua t'il.

Puis, tout comme son prédécéseur, il se lança dans mes entraille. A la différence que là, ce n'était plus l'Homme, mais le mâle, celui qui naturellement à le besoin de ce moment. Son plaisir est capital. Sous ses assaults animales, mes cris sont étouffés par les claquements de ses testicules contre moi. Dans un râlement typiquement viril, il déposa lui aussi son sperme chaud. Il s'effondra sur moi, m'embrassa et me remercia, puis appela Ghassene.

Comme un prince charmant ce dernier vint le chercher et me pris dans ses bras.

- Maintenant t'es à moi !

Et tout en se dirigeant dans se chambre dans ses bras, j'entendais les gouttes de sperme d'Abdel et Younès, dégouliner au sol.

 A suivre

Nous mangeons, les regards se croisent. Abdel me félicite de mon repas, Ghassene ne dit pas un mots depuis tout à l'heure. Un pied se glisse contre ma jambe, c'est celui d'Abdel. Géné, je déclae lègérement ma jambe. Un fronsement des surcils sur son visage me fait comprendre que cette attitude lui déplait. Je me laisse donc faire. Le repas terminé, par un élan de galenterie, Abdel m'aide à débarasser la table, Ghassene s'en mêle ensuite, entre le père et le fils, il y a comme  une concurrence.

- Bon Ghassene, qu'est-ce que c'est cette attitude ? Interroge Abdel

- Rien, j'aime pas qu'on marche sur mes plates bandes sans ma permission, c'est tout. Répond Ghassene.

- Je suis ton père  tout de même.

- Toi oui, mais Younès a abusé, s'énerve Ghassene.

- Tu n'avais qu'à pas lui en parlé, tu connais ton frêre, et puis, c'est quand même lui qui t'as tout appris.

Ghassene semble quand même se calmer, il s'explique alors en arabe avec son père et l'atmosphère devient moins tendue. La vaiselle finie, nous nous rendons tous les trois dans le salon. Un sourire complice entre le père et le fils, un tous deux me mettent une mains sur une cuisse. Abdel déclare :

- Tu repars quand ?

- Dans une semaine, répondis-je

- Ca te dirais pas de rester plus longtemps ... mes fils t'aime bien, et moi aussi.

- Oui pourquoi pas ! M'exclamais-je

- Ghassene sera ton référant, il décidera qui te touchera et quand. Il donne l'autorisation uniquement à  Moi et Younès de t'utiliser sans sa permission. L'apparte à Younès étant en traveaux, il va venir ici. Trois Hommes pour toi, tu vas aimé la Tunisie. 

- Juste un truc, en dehors des autres rapports sexuels dont ont aura envie, tu devra faire obligatoirement trois pipes par jours pas Hommes, une le matin, une le soir. Ici, toutes les femmes font ça. Ajoute Ghassene.

- Mise à part ça, on te traitra comme une princesse ! Affirma Abdel.

C'est ainsi que, chacun leur tour, ils m'embrassèrent. Abdel repartit au boulo, en me faisant une petite frappe aux fesses et une l'épaule de Ghassene en signe d'encouragement. Ce dernier me pris dans ses bras tendrement et m'indiquà qu'aujourd'hui il me fera visité la médina.

Sous le cagnar du mois d'aout, nous marchions dans les ruelles. Ghassene était discret, mais, tel un protecteur, il n'hésitait pas à déposer sa main sur mes fesses quand il voyait d'autres Hommes me regarder, en signe de possession. J'étais sa chasse gardée. J'ai chaud et souhaite retirer mon tee-shirt, mais Ghassene conteste, cela attiiserait les regards. Il connait ses compatriotes, il sait que, comme lui, les autres tunisiens sont des conquérants. 

En entrant dans un café, Ghassene salue un amis qui nous invite à  passer dans la salle de derrière. En fait, Ghassene m'explique que c'est un café gay "secret" même si, beaucoup d'Hommes sont au courant. En pénétrant dans la salle, l'atmosphère est tout autre. L'odeur est très masculine, et les visions me choquent à première abord. C'est un véritable harem où de jeunes français comme moi dansent sur des musiques orientales devant des Hommes arabes fumant la chicha et buvant le thé, tout en se masturbant ou en étant sucé. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis au loin, le facteur du matin. Il s'approche de moi, puis distingue la mains de Ghassene.

- Ah, je m'en doutais ce matin, je me suis dis, ça doit être à Ghassene ça. Dit-il.

Ghassene eut un rictus, puis il parle en arabe. Le facteur sourisn Ghassene m'indique qu'il s'appelle Karim, mais que tout le monde ici le surnomme le marteau piqueur. Ils reprennent à parlé en arabe, un tape au fesse de Ghassene m'indique de me diriger vers Karim, ce dernier donne un billet à Ghassene.

- Je reviens te chercher tout à l'heure, me préviens Ghassene.

Un dernier baiser, puis les gestes que fait karim est ses potes sont explicites, il s'exlame alors :

- Appelez les pompier, son tarba va chauffer.

Tous se mettent à rire, tranquiles, sur leur divans, se faisant sucer, comme des rois.