Sami était dans ma classe au collège et était d'origine tunisienne. Il était à l'origine de mon grand fantasme sur les arabes, et je savais qu'il avait de la famille ici, c'est pourquoi ce pays me fascinait tant. Nous n'eument pas le temps de discuter puisque Ghassene arriva. Je pris alors l'initiative de lui présenter sami, qu'il salua et à qui il parla pendant quelques minutes. Puis, Ghassene et moi nous en allâmes. Sur le chemin, il me rassura sur le fait que les billets échangés avant mon raport avec Karim étaient pour régler un affaire, rien à voir avec moi. Il me parla aussi de mon ancien camarade, sami, avec qui il avait discuté, et m'annonça avec surprise que le malheureux était toujours puceau. J'aurais donc l'honneur de faire de lui un Homme. Nous rentrâmes à la maison, et sur le chemin Ghassene me demanda comment ça c'était passé avec Karim. Je lui dis la vérité, c'est-à-dire que son surnom, il le portait bien. Il sourit, puis continua à marcher. 

Arrivé à la maison, Younès est rentré du travail. Les deux frêres se parlent, puis se serrent la mains en signe de réconciliation. Younès m'adresse la parole :

- Alors il était en forme Karim aujourd'hui ?

- Plutôt oui ! répondis-je.

Abdel rentra à son tour, d'un geste naturel, il se dirigea vers moi pour m'embrasser, comme il faisait avec sa femme. Younès, jaloue se leva, "Ah oui, j'avais oublié" et il fit de même. Abdel m'emmena dans la cuisine pour m'indiquer le diner à préparer. Quelques heures plus tard, le diner se déroula bien dans une atmosphère détendue, j'étais bien, entouré de mes 3 Hommes. Puis vint le momemnt du coucher. Abdel me rappela ce qu'il m'avait apprit le midi, un fellation la matin, une le soir. Il mm'indiqua alors, qu'en tant que chef de famille, il serait le premier, puis qu'étant donné que Ghassene était mon "référant" et que je dormais avec lui, il serait les dernier. Younès serait alors le deuxième.

Je me dirigeai alors dans la chambre d'Abdel que je découvris pour la première fois. Il se déshabilla tranquillement et naturellement il s'allongea sur le lit sans dire un mots. J'avais compris mon rôle. Je me mis donc directement entre ses jambes et contempla se pénis que j'avais sucer au petit  matin. Là, il étais prêt à s'endormir après une dernière action. Je le pris donc au repos dans la bouche et commença à titiller la gland. Il m'encourageait avec ses paroles et ses mains. Dans ma bouche, s'élevant petit à petit, la chef de famille me faisais sentir si petit. Puis d'un coup, il me fit arrêter et décida de découvrir ce que ça faisait d'enculer un mec, il ne l'avait jamais fait. C'est alors avec plaisir que je me mis en position de levrette dans une totale servitude. Et sans me prévenir, l'Homme pris possession des lieux. Rapidement, je sentis des jets m'innonder, ce fut berf mais intense, mais deux autres Hommes attendaient leur tour. Il me fis comprendre que maintenant il souhaitait dormir. Sans un remerciemnt, il cria :

-Younès, à toi !

Ce dernier entra dans la chambre de son géniteur déjà nu, l'organe en position d'accouplement.

-Vas-y bébé viens j'en peux plus !

Lui était déjà plus doux et me dirigea vers sa chambre, sa garçonnière comme il disait. Il ferma la porte puis, impatient, me demanda de "faire mon taf". Il m'informa que ce midi, il avait adoré, malgré le différent avec son frère, et qu'il avait attendu avec impatience ce soir. Mais moi, j'avais déjà sa bite en bouche. Comme ce midi il m'avait indiqué, c'est la meilleure de la famille. Les testicules sont grosses, remontées car exitées. Puis, comme son père, il m'indiqua son désir de me sodomiser, même si lui était un habitué. Il me mit donc en levrette et pointa son gland sur les lèvres de mon anus dilatées et encore dégoulinantes de la semence de son père. 

- Ca lubrifira,expliqua t'il.

Puis, tout comme son prédécéseur, il se lança dans mes entraille. A la différence que là, ce n'était plus l'Homme, mais le mâle, celui qui naturellement à le besoin de ce moment. Son plaisir est capital. Sous ses assaults animales, mes cris sont étouffés par les claquements de ses testicules contre moi. Dans un râlement typiquement viril, il déposa lui aussi son sperme chaud. Il s'effondra sur moi, m'embrassa et me remercia, puis appela Ghassene.

Comme un prince charmant ce dernier vint le chercher et me pris dans ses bras.

- Maintenant t'es à moi !

Et tout en se dirigeant dans se chambre dans ses bras, j'entendais les gouttes de sperme d'Abdel et Younès, dégouliner au sol.

 A suivre