Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 21:58

Nous mangeons, les regards se croisent. Abdel me félicite de mon repas, Ghassene ne dit pas un mots depuis tout à l'heure. Un pied se glisse contre ma jambe, c'est celui d'Abdel. Géné, je déclae lègérement ma jambe. Un fronsement des surcils sur son visage me fait comprendre que cette attitude lui déplait. Je me laisse donc faire. Le repas terminé, par un élan de galenterie, Abdel m'aide à débarasser la table, Ghassene s'en mêle ensuite, entre le père et le fils, il y a comme  une concurrence.

 

- Bon Ghassene, qu'est-ce que c'est cette attitude ? Interroge Abdel

- Rien, j'aime pas qu'on marche sur mes plates bandes sans ma permission, c'est tout. Répond Ghassene.

- Je suis ton père  tout de même.

- Toi oui, mais Younès a abusé, s'énerve Ghassene.

- Tu n'avais qu'à pas lui en parlé, tu connais ton frêre, et puis, c'est quand même lui qui t'as tout appris.

 

Ghassene semble quand même se calmer, il s'explique alors en arabe avec son père et l'atmosphère devient moins tendue. La vaiselle finie, nous nous rendons tous les trois dans le salon. Un sourire complice entre le père et le fils, un tous deux me mettent une mains sur une cuisse. Abdel déclare :

 

- Tu repars quand ?

- Dans une semaine, répondis-je

- Ca te dirais pas de rester plus longtemps ... mes fils t'aime bien, et moi aussi.

- Oui pourquoi pas ! M'exclamais-je

- Ghassene sera ton référant, il décidera qui te touchera et quand. Il donne l'autorisation uniquement à  Moi et Younès de t'utiliser sans sa permission. L'apparte à Younès étant en traveaux, il va venir ici. Trois Hommes pour toi, tu vas aimé la Tunisie. 

- Juste un truc, en dehors des autres rapports sexuels dont ont aura envie, tu devra faire obligatoirement trois pipes par jours pas Hommes, une le matin, une le soir. Ici, toutes les femmes font ça. Ajoute Ghassene.

- Mise à part ça, on te traitra comme une princesse ! Affirma Abdel.

 

C'est ainsi que, chacun leur tour, ils m'embrassèrent. Abdel repartit au boulo, en me faisant une petite frappe aux fesses et une l'épaule de Ghassene en signe d'encouragement. Ce dernier me pris dans ses bras tendrement et m'indiquà qu'aujourd'hui il me fera visité la médina.

Sous le cagnar du mois d'aout, nous marchions dans les ruelles. Ghassene était discret, mais, tel un protecteur, il n'hésitait pas à déposer sa main sur mes fesses quand il voyait d'autres Hommes me regarder, en signe de possession. J'étais sa chasse gardée. J'ai chaud et souhaite retirer mon tee-shirt, mais Ghassene conteste, cela attiiserait les regards. Il connait ses compatriotes, il sait que, comme lui, les autres tunisiens sont des conquérants. 

En entrant dans un café, Ghassene salue un amis qui nous invite à  passer dans la salle de derrière. En fait, Ghassene m'explique que c'est un café gay "secret" même si, beaucoup d'Hommes sont au courant. En pénétrant dans la salle, l'atmosphère est tout autre. L'odeur est très masculine, et les visions me choquent à première abord. C'est un véritable harem où de jeunes français comme moi dansent sur des musiques orientales devant des Hommes arabes fumant la chicha et buvant le thé, tout en se masturbant ou en étant sucé. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis au loin, le facteur du matin. Il s'approche de moi, puis distingue la mains de Ghassene.

- Ah, je m'en doutais ce matin, je me suis dis, ça doit être à Ghassene ça. Dit-il.

Ghassene eut un rictus, puis il parle en arabe. Le facteur sourisn Ghassene m'indique qu'il s'appelle Karim, mais que tout le monde ici le surnomme le marteau piqueur. Ils reprennent à parlé en arabe, un tape au fesse de Ghassene m'indique de me diriger vers Karim, ce dernier donne un billet à Ghassene.

 

- Je reviens te chercher tout à l'heure, me préviens Ghassene.

 

Un dernier baiser, puis les gestes que fait karim est ses potes sont explicites, il s'exlame alors :

- Appelez les pompier, son tarba va chauffer.

 

Tous se mettent à rire, tranquiles, sur leur divans, se faisant sucer, comme des rois.


Par Love-arabic-guys - Publié dans : Voyage aux milles et une nuits
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Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 18:28

Ce qui est magique avec les arabes, c'est de voir à quel point leur sexe est nourissant. Il prend entierement la bouche et son goût est si délicieux car propre, sans résidus et odeurs que l'on peut trouvé chez les pénis nons-circoncis, si j'ose dire, les autres "hommes" (vous connaissez ma définition de l'homme). 

Et son sperme, énergétique, vitaminé, est un véritable complément alimentaire, A consommer sans modération.

longue-bite-tordue-copie-1.jpg

Quoi qu'il en soit, une queue arabe, c'est l'assurance de ne pas mourir de faim, et ça, c'est indispensable à la vie.

Alors pour ta santé, suce au moins 5 beurs par jour :)!

Par Love-arabic-guys
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Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 17:46

Midi venait de sonner et le couscous que Ghassene m'avait appris à préparer était prét. Ce dernier était parti faire quelques courses. Tout à coup, on sonna à la porte, je me dis que c'était certainement son frère, Younès, mais non, il s'agissait seulement du facteur. Je lui ouvre donc et il me donna le courrier avec un grand sourire, charmant, mais je n'étais plus étonné à présent, de la beauté maghrébine et de leur sens aigu de la séduction. Il me questionne sur ce que je fais ici, et me balance une question que je ne comprends pas sur le coup, si j'ai mangé hallal. Puis il s'en va en me saluant gentillement d'un "A la prochaine j'éspère !". 

C'est à ce moment là qu'une voiture ce garre, le facteur dit bonjour au conducteur et ils se parlent deux-trois mots en arabe. Puis, celui-ci se dirige vers la porte d'entrée, je comprends donc qu'il s'agit du frère, Younès. C'est une très beau garçon, 25 ans, grand, habillé jeune, souriant, cheveux rasés sur les côtés, coupe à la rebeu quoi. Il s'assure de mon identité et entre dans la maison. Il me questionne alors sur ma vie, d'où je viens, comment se passe mes vacances, ce que je fais comme études. En entrant dans la cuisine, il découvre le plat de couscous en s'en léchant les babines.

 

- Un vraie petite ménagère, me dit-il en rigolant.

  Puis, il poursuit :

- Mon père aura du retard, il fini un travail. Ghassene a certainement dû rencontrer une connaissance, je vais commencer à manger, j'ai pas trop le temps.

 

Ainsi, il se servit dans le plat et remplit son assiette, hésitant, je regarde, puis décide de prendre mon assiette pour me servir.

 

- Attend plutôt les gars pour manger, mais si ta faim, Ghassene m'a dit que t'étais très gourmand.

 

Je rougis alors, de peur de passer pour la salope de service. Mais il inciste gentillement.

 

-Y'a pas de mal tu sais, heureusement que y'en a des comme toi. Passe sous la table, t'as kiffé le frangin et le daron, t'inquiète que la mienne c'est la meilleure de la mifa.

 

Je me dirige alors sous la table, pour pratiquer la troisième fellation de ma vie sur la troisième bite de ma vie, en 2 jours. Je me retrouve face à un homme assis sur une chaise, qui sort gracieusement son pénis pour combler ma faim, telle une offrande. La veille j'avais découvert le sexe maghrébin par Ghassene, le matin, j'avais confirmé mon adoration pour cet organe sur son père, et maintenant, devant moi, Younès confirmait ses dires. "La meilleure de la famille" s'était-il exclamé, en tout cas, certainement la plus conséquente. Je n'eu aucun mal à l'enfiler dans ma bouche pour combler ma faim et son désir d'être sucé. Je l'entend lancer des "hum" d'exaltation à la fois pour le bonheur qu'il éprouvait par ma fellation et par le couscous qu'il mangeait.

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- 'Tain t'es bonne toi ! En cuisine et en pipe, tu m'étonne qu'ils veulent te garder.

 

Je suis surpris par ces paroles, il m'indique qu'on en reparlera plus tard, pour l''instant j'ai autre chose à faire. Je suce donc, longuement cette homme décidément plus qu'endurant, pour mon plus grand, plaisir, quand j'entend une porte s'ouvrir.

 

- Bah il est où ? s'interroge Ghassene

- Là où il doit être ! répond Younès.

 

Ghassene se baisse sous la table et constate maa totale soumission à son frère, il s'adresse à ce dernier en arabe sur un ton plus grave, je resens de la jalousie, et ce n'est pas pour me déplaire.

 

- Vas-y avale, s'exclame Younès

 

Alors, je bois ce précieux nectar, par de longs jets, puis, l'éjaculation terminé, il se rhabit et s'en va, après m'avoir adresser un petit sourire de remerciement. Quant à son frère, il ne le regarde pas. C'est alors qu'une fois la porte fermée, je me retrouve face au visage noir de Ghassene, je ne comprend pas ce qui se passe. J'ose à peine le regarder la bouche encore dégoulinante du lait sacré de son frère. Puis, enfin il me resourit.

 

- Je sais tout, mais j'aime pas trop te voir avec d'autre homme même si c'est la famille, on en reparlera quand le daron arrivera, c'est lui le chef de famille.


 


Par Love-arabic-guys - Publié dans : Voyage aux milles et une nuits
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Samedi 24 mars 6 24 /03 /Mars 18:19

1

Au matin il se réveille dans un éréction matinale

Et parfois il s'élève comme une fierté animale

Pointant vers le ciel, la direction du paradis

Il 'élance tel un glaive, complètement raidis.

 

Son allure est si belle, sa forme si parfaite

Le glans dégagé d'une magnifique circoncision

Il est prêt à avancer dans des entrailles abstraites

Sa beauté impose, une véritable soumission.

 

Puis en action, il conquit

Rien ne peux l'arrêter

Sauf peut-être son liquide

Qu'il a désormais projetté.

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Par Love-arabic-guys
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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 22:29

Après une bonne nuit de sommeil, je me suis réveillé près de Ghassene, encore endormi. Il ne s'est pas rhabillé de la veille, et son pénis est à l'aire libre, au repos. Il semble si inoffensif quand on le voit ainsi, mais toujours aussi appétissant, surtout quand on connait ses capacités. Dans la pièce, le premiers rayons de soleil éclairent à travers les rideaux et l'odeur est très masculine, un mélange de transpiration, de sperm, qui résultent de notre parade nuptiale.

J'hésite, puis je me lève sans le réveiller. Arrivé dans la cuisine, son père prend le petit déjeuner. Je lui dit bonjour, il répond et boit une gorger de son café. Il m'indique que je peux me servir, je me verse alors une tasse de café au lait.

 

- Il n'est pas réveillé ? m'interrogea-t-il.

 

- Non, répondis-je.

 

- Tu l'a fatigué aussi, me lança-t-il.

 

Ces quelque mots me choquèrent, je croyait qu'ils étaient absents,  Ghassene m'avait indiqué que je pouvais faire autant de bruit que je veux. Abdel me fixait. Je repris :

 

- Vous ...

 

- Oui oui j'ai entendu, et vu ce que j'ai entendu, je suis fier de mon fils, c'est un Homme hien ?

 

-Oh ça oui, mais ça ne vous gène pas ? 

 

- Non, ici c'est comme ça, un Homme est un Homme, j'ai transmi ces valeurs à mes deux fils. C'est l'honneur de la famille.

 

- Alors vous pouvez être fier, dis-je.

 

Il fini sa tasse et la déposa dans l'évier.

 

- Quand tu aura fini tu netoyera s'il te plait, ma femme est parti quelques jours chez sa soeur. 

 

Puis il se renda dans la salon d'un air macho. J'aimais cette situation, et aussitôt après avoir fini, je m'exécutai. Je me rendis ensuite dans le salon et pris la direction de la chambre quand il m'interpela.

 

- Non reste, on ne dérange pas un Homme qui dort, il serait de mauvaise humeur, et c'est pas beau à voir. 

Je m'installai alors dans le canapé, devant la télévision en arabe que je ne comprenais pas.

 

-Tu t'ennuie hein ! constata-t-il. Tu sais que chez nous, l'Homme est le chef de famille, alors comme ma femme est pas là, et qu'en tant que père, j'ai le droit de tester ce qui est à mon fils, je vais me premettre de te demander de me sucer, ça fait toujours du bien le matin, avant d'aller au boulo.

 

Alors, sans me faire prier, je me levai du canapé et me mis à genoux, devant Abdel Ben Boudahoud, le père de l'Homme qui m'avait dépucelé, le chef de la maison. J'ouvris alors ça braquette et descendis son pantalon et son calçon. Je découvris alors un pénis encore mou mais de bonne taille,et qui dégageait une délicieuse odeur masculine. Il me fit comprendre que les restes de sperme datais de la veille, alors que ça femme était en période de manstruation, il s'était fait sucer et avait éjaculé sur lui.

A peine ma mains dessus elle prit de volume. Abdel faisait mine de rien, il regardait la télévision, zappait. Moi, une fois de plus, je m'étonnais de ce qu'un Homme tunisien pouvait cacher dans son pantalon. Elle pointait désormais le plafond, quelle était belle, "c'est bien le père de son fils !" pensais-je. Alors, comme la veille, mon instinc me guida et ma bouche entra en contact avec sa verge. Je levai les yeux vers lui, et commençai un longue fellation. Mes vas-et-viens étaient tantôt doux, tantôt rapides, il me regardait dans les yeux, et parfois, penchait la tête en arrière comme le font tous les Hommes à qui l'on fait plaisir. Il me demanda de lécher ses testicules, c'est ainsi que je découvris deux bonnes boules, pendantes vers le sol, et qui semblaient si pleines. Je repris ensuite l'engin en bouche pour continuer ce que j'avais commencer, il se mit alors debout et me demanda d'ouvrir la bouche. C'est alors qu'il pris son engin en mains, et, de la même manière qu'il me disait avoir fait avec sa femme la veille, il éjacula toute sa semence dans ma bouche, sur son visage, et un peu sur lui. C'était la première fois que je goûtais un autre sperme que le mien, et mon dieu que j'aimais ça. Il me fit alors nettoyer son organe et le rangea. D'un sourire il me dit d'aller prendre une douche, il pris c'est clef et lança :

 

- Je pars au boulo, Ghassene te dira pour ce midi, mais je rentre à 12h, Younès sera là aussi.

Par Love-arabic-guys - Publié dans : Voyage aux milles et une nuits
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